DURBAN (Reuters) – les pays riches sont en voie de respecter la promesse de 30 milliards de dollars à court terme pour financer le climat, les questions une figure qui vise à aider les pays pauvres à s’attaquer au réchauffement global.

Cependant, a émergé des questions durant le climat pourparlers tenue à Durban cette semaine sur si les donateurs seront en mesure de renforcer le soutien de 100 milliards de dollars par an d’ici 2020, dans le cadre d’un fonds à long terme pour aider les pays en développement dans leur lutte contre le changement climatique.

« Des États-Unis s’engage à s’acquitter de notre part de l’effort total », jeudi, a déclaré aux journalistes Jonathan Pershing, envoyé spécial de ce pays pour le climat.

Il est prévu que plus de 190 pays participant dans le climat parle signe à long terme du climat écologique Fonds (GCF), mais il y a encore des préoccupations à l’égard de l’où laissera argent, étant donné que la crise de la dette est de frapper les principaux donateurs.

Au Japon, le premier donateur jusqu’à présent livré 12,5 milliards de dollars à la fin du mois dernier, le total de propos de commis 15 milliards de dollars.

Environ 3 500 millions de dollars de sa contribution provient du secteur privé, tandis que l’ensemble a approché de près de 360 projets dans 95 pays, dont plus de la moitié est en Afrique ou dans les pays moins développés.

Aux États-Unis et l’Union européenne, a déclaré qu’ils ont condamné 5,1 milliards d’euros et de 4,7 milliards d’euros, respectivement, dans le passé deux ans.

Les critiques ont exprimé leur inquiétude sur la quantité de cet argent sera utilisé pour les placements à court terme – des mesures d’atténuation pour réduire les émissions de gaz à effet de serre – par rapport à l’adaptation, qui cherche à réduire la vulnérabilité des personnes les plus touchées par les patrons extrêmes et changements climatique.

(EUR 1 dollar = 0,7429)

(Rapport supplémentaire de Jon Herskovitz et Michael Szabo.) (Édité par Rodrigo de Charme en espagnol)