Sydney (Australie), 17 février (EFE).-la préservation des espèces menacées animaux marsupial qui vit dans le sud de l’Australie, le diable de Tasmanie, décrit la suite possible que les scientifiques ont desentrañado clés de tumeurs qui décimaient les espèces.

L’énigme de cette étrange forme de cancer est plus faible car une équipe d’experts dirigée par le biologiste Janine Deakin de l’Australian National University comparée du génome d’un démon ou le diable de Tasmanie en bonne santé avec une copie touchée par cette maladie rare, qui se propage rapidement par contact.

Les chercheurs ont constaté que « plusieurs importants fragments de chromosomes avaient été mélangés comme un puzzle qui a armé la mauvaise façon », selon un communiqué publié par l’Université.

Avant, dans une étude publiée en février de cette année dans la revue scientifique PLOS Genetics, l’équipe de Deakin a révélé que les tumeurs touchant le diable de Tasmanie (Sarcophilus laniarius), elles évoluent lentement et ont très peu changé depuis son apparition.

« C’est inhabituel parce que le cancer habituellement, dans le cas du cancer humain rapidement en constante évolution et il existe de grandes différences entre la tumeur initiale et des métastases, » dit Deakin.

La tête de l’école de recherche en biologie de l’Université a souligné que grâce à la recherche « nous avons confirmé que le type de tumeur qui sont des copies de diable de Tasmanie est génétiquement très stable ».

Appelé « Purinina » par les autochtones, ce marsupial carnivore qui est considérée comme la plus ancienne dans le monde entre ceux qui restent sur la terre, disparu de l’Australie continentale, il y a environ 400 ans apparemment par la perte de son Habitat pour le dingo, un wild dog avec un taux de reproduction élevé.

L’heure actuelle, le diable se retrouve seulement à l’état sauvage dans les régions de l’île de Tasmanie et de plusieurs centres spécialisés créés sur le continent pour isoler les sains spécimens d’animaux touchés par la maladie.

Alarme a sauté dans le milieu des années 1990, quand il détecté que cet animal est mort en raison d’une tumeur cancéreuse faciale qui affecte uniquement cette espèce.

Les experts estiment que 70 % des copies de diable de Tasmanie meurent avant d’atteindre 18 mois de la vie d’un cancer et des changements de l’écosystème avant tout par l’introduction d’envahissantes, comme les espèces de renards roux.

Le diable de Tasmanie, qui souvent contracté la maladie à travers les blessures qui se produisent dans des combats avec des spécimens infectés, commence à manifester des symptômes visibles de cette forme de cancer avec l’apparition dans la bouche des tumeurs qui augmentent en taille de causer certaines déformations qui empêchent l’animal de manger pour survivre.

Ce Carnivore est inclus dans la liste nationale des animaux en danger d’extinction, l’Australie et aussi dans le rouge des Nations Unies de considérer que, dans une période de 25 à 35 ans, peut disparaître si avant n’est pas un remède pour le cancer qui a décimé cette espèce.

Selon les experts, une extinction éventuelle de cet animal entraînera un déséquilibre de l’écosystème de la Tasmanie car qui sera une augmentation considérable de la charogne dans les régions boisées de l’île et permettre la multiplication des espèces invasives dites.

La prochaine étape des scientifiques australiens est de déchiffrer l’origine et les causes de la maladie, non seulement pour sauver l’animal de l’extinction, mais aussi afin que leur étude fournit des avances dans la recherche du cancer chez l’humain.

« Cancer affectant le diable de Tasmanie est va être un modèle pour l’étude des divers types de cancer souffrent d’homme parce qu’il est stable, se développe lentement et donne une meilleure chance de trouver des particularités qui ne sont pas appréciées par l’étude du cancer chez les humains, parce que tout se passe très vite, » a souligné.

En général, le cancer n’est pas contagieux parce que les cellules cancéreuses sont différents chez les personnes touchées, et lorsqu’ils sont transmis sont rejetés par le système immunitaire.

Images fournies aujourd’hui, vendredi 17 février 2012, par les organismes du gouvernement australien sur un diable de Tasmanie en bonne santé et un autre souffrant de cancer qui décima les espèces, dont les clés génétiques juste être extirpée par les scientifiques. La photo montrant un diable de Tasmanie en bonne santé, a été transféré par le Department of Primary Industries, Parcs, eau et environnement de l’Australie et la main droite, la gauche, qui montre un animal malade, de l’Australian National University. EFE