Berlin, 29 nov (EFE).-Allemagne a ouvert aujourd’hui à détruire un total de 16 millions de dollars, vaccins contre la grippe H1N1 de la GlaxoSmith Kline pharmaceutique britannique s’élevant à 130 millions d’euros par la maturité de leur date d’expiration.
Said allemand santé autorités craignent d’une pandémie en 2009, après les premiers morts au Mexique par une épidémie de grippe chez l’humain, qu’elle conduit à des 16 Länder pour l’achat de 34 millions de doses du vaccin Pandemrix s’élevant à 283 millions d’euros.
Selon l’Institut Robert Koch de virologie, le taux de vaccination se situait entre 4 et 14 %, selon le Land, donc totales vaccins acquis en déroute 28,7 millions de doses.
Jusqu’à ce mercredi après-midi, un total de 196 palettes avec les vaccinations expirées est éliminé au coût de 14 000 euros à 1 000 degrés de la température dans l’incinérateur de l’usine de Rothensee à Magdebourg, dans l’est du pays.
Pour les Länder, c’est une dépense de 239 millions d’euros, que les assurances de santé publique seulement a assumé le coût des doses utilisées.
Également Länder doit maintenant assumer la destruction des vaccins expirés facultatif et distribués entre leurs centres de santé respectifs.
Selon les données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), au moins 18 400 personnes sont mortes à la suite de la grippe H1N1 – se propager à 214 pays et territoires-, une figure beaucoup plus faible pour l’île de l’entre 250 000 et 500 000 décès par an par la grippe saisonnière.
En Allemagne, l’Institut Robert Koch a signalé un total de 226 000 cas d’infection par la grippe AH1N1, dont 252 patients sont morts entre mai 2009 et 2010 avril.
75 % Des décès étaient mineurs 60 ; 29 d’entre eux enfants.
En août 2010, qui annonce que la fin de l’épidémie, avec 350 millions de personnes vaccinées dans le monde entier quatorze mois après décrétant un état d’alerte pour l’influenza a.
Un comité scientifique a été commandé par la suite pour évaluer le rendement de la qui, après les accusations que l’organisation avait cessé d’influencer par l’industrie pharmaceutique lors de la prise de décisions.
Enfin, le Comité a constaté il y n’avait « aucune preuve directe ou indirecte » de l’influence des intérêts commerciaux. EFE