Athènes, 3 avr ( EFE).-la police grecque peut détenir des résidents étrangers en Grèce par des problèmes de « santé publique », selon un projet de loi qui sera voté au Parlement.
détention des étrangers, si elles ont demandé l’asile politique ou non, est envisagés dans le cadre de la modification actuelle si ils posent un risque pour la santé publique, dit le projet de loi présenté cette semaine par le gouvernement dirige l’exbanquero Lukás Papadimos et publiée aujourd’hui par divers moyens Hellènes.
Le texte inclut, à titre d’exemple de cas possibles, personnes atteintes infectieuses ou maladie des « groupes à risque tels que les utilisateurs de drogues par voie intraveineuse, les travailleurs du sexe ou de personnes vivant dans des conditions qui n’atteignent pas les normes minimales d’hygiène ».
Ajoute que « les sujets seront soumis à des inspections obligatoires de santé et de traitement nécessaire » et ceux qui refusent de coopérer avec les autorités peuvent être expulsée.
Protection des ministres citoyen, Mijalis, Jrisojoidis et de la santé, Andreas Loverdos, avaient déjà annoncé la semaine dernière que des mesures seraient prises contre la « pompe pour la santé » qui, à son avis, représentent des immigrants vivant en Grèce sans documents.
La mesure arrive, en outre, après le fiasco qui a donné lieu à ce qu’on appelle « opération macro contre illégal » du ministère de la protection des citoyens (Loi et décret), qui, au cours de la semaine dernière, ont été arrêtés à environ 2 000 étrangers.
, Seulement vous pourriez trouver des accusations portées contre 420, qui, dans les 234 affaires était en n’ayant ne pas de résidence dans les documents de la règle, ce qui implique que plus de 1 500 ont été arrêtés sans accusation ni soupçon valide.
Le gouvernement a annoncé la transformation de 30 anciennes bases militaires dans des camps de détention pour quelque 30 000 immigrants sans papiers.
Nombre d’organisations non gouvernementales s’est plaints de ces mesures, qui ont beaucoup critiqué pour la proximité des élections, qui attend une augmentation importante du vote à l’encombrement des groupes campagne exclusivement sur la question de l’immigration.
« Est particulièrement préoccupant que les droit d’arrestation de visage de protection internationale. » « Immigrants et les réfugiés ne sont pas des criminels et qu’ils ne doivent pas être traités comme tels, » plaint hier Amnesty International dans un communiqué.
« les autorités grecques doivent retirer immédiatement ces mesures, qui ne font qu’accentuer la stigmatisation envers les immigrés et les réfugiés dans le pays », a ajouté.
Selon une étude du groupe (« think tank ») ELIAMEP en 2011 résidant chez les immigrants Grèce 1,1 million, dont 400 000 documents disponibles en règle.
Selon les données de l’Agence européenne de contrôle des frontières (FRONTEX), qui a pour mission d’aider la Grèce sur le sujet, en 2011 il étaient de 57 000 entrées illégales des immigrés dans le pays méditerranéen. EFE