Brasilia, 6 décembre (EFE).-le groupe environnemental Greenpeace a protesté aujourd’hui à Brasilia l’adoption imminente d’un nouvel ensemble de lois visant à réglementer l’utilisation des sols et ont exigé le chef d’État, Dilma Rousseff, pour désactiver “la tronçonneuse”.
Sera voté le projet de réforme du code forestier soi-disant, opposé par les défenseurs de l’environnement, aujourd’hui, même avec le Sénat et il semble évident qu’il sera adopté par l’écrasante majorité qui a du parti au pouvoir dans cette maison.
« Cette réforme conduira à une augmentation déforestation en Amazonie, pardonner à ceux qui abattus illégalement des forêts et ouvrir les lacunes des nouveaux règlements » dans les poumons de plante une plus grande de la planète, a dénoncé l’ingénieur agronomique Tatiana de Carvalho, chapitre brésilien de Greenpeace.
Groupe environnemental gonflé énormes ballons devant le siège du Sénat dans lequel accroché bannières qui se lisait « Dilma, arrêter la scie à chaîne » et d’autres messages pour les sénateurs, qui ont été incités à rejeter le projet, qui a été soumis par le gouvernement lui-même.
Selon Greenpeace et les autres mouvements écologiques, comme les fonds de fonds mondial pour la nature (WWF), l’adoption du projet de réforme du code forestier sera un “coup mortel” à l’Amazonie et l’inverse le Brésil progrès a connu ces dernières années en termes de réduction des taux de déforestation.
Juste ce lundi, le gouvernement brésilien a annoncé que le taux de perte de la forêt amazonienne par l’action de l’homme prédateur a diminué de 11 % entre août 2010 et juillet 2011, ont été perdus lors de la 6.238 carrés kilomètres de forêt.
Selon les données officielles, ce chiffre a également été le plus jeune enregistré au cours de la période annuelle depuis 1988, quand ils ont commencé à recueillir des données statistiques sur la perte de forêts amazoniennes. EFE