Durban (Afrique du Sud), 29 nov (EFE).-la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP17) qui a débuté lundi à Durban, en Afrique du Sud fait face à des défis importants à garder vivante la lutte contre le changement climatique.
Les clés pour la compréhension de la conférence sont les suivants :
1. Quelle est la COP17?
Est la 17e Conférence des parties de l’Organisation des Nations Unies sur les changements climatiques (COP17), qui fait partie du cadre de la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC, 1992).
Summit, tenue à Durban du 28 novembre au 9 décembre, est le forum multilatéral plus complet (195 pays) afin de discuter et de prendre des mesures contre le réchauffement climatique.
2. Quels sont les résultats du sommet précédent (COP16) en 2010 à Cancún (Mexique)?
Le sommet de Cancun a réussi à rétablir l’espoir de parvenir à un accord international sur la lutte contre le changement climatique, après l’échec de l’édition de Copenhague (COP15).
Alors qu’il a fourni aucune solution à la question plus complexe, le renouvellement d’une deuxième période de l’engagement du protocole de Kyoto, l’événement mexicain a pu démarrer la volonté des pays émergents à s’engager à réduire les émissions, une des principales exigences des économies occidentales.
Accords recueillis, en outre, la mise en place d’un fonds vert pour le climat qui rendra disponible aux pays en développement de 100 milliards de dollars par an d’ici 2020 de déplacer vers les énergies plus propres et la lutte contre le changement climatique.
Cancun a constitué un Comité transitoire de concevoir les mécanismes du fonds, qui canalisé les contributions des pays riches vers les pays en développement, dont l’objectif est de créer un nouveau cadre économique dont tous sont en compétition dans des conditions égales.
3. Quels sont les grands débats à Durban?
-Le renouvellement du protocole de Kyoto.
Le protocole de Kyoto
, qui a été signé en 1997 et entré en vigueur en 2005, établi légalement des engagements contraignants de réduction des émissions à effet de serre de gaz pour 37 pays développés et de l’Union européenne. L’accord n’a pas ratifié par les États-Unis et n’oblige pas les économies émergentes en Chine, l’Inde et le Brésil.
Le protocole expire à la fin de 2012 et les négociateurs en essayant de s’entendre sur une deuxième période d’engagement de servir de transition vers un nouvel accord international juridiquement contraignant.
Les pays en développement considère essentiel que les économies occidentales à ratifier la deuxième période d’engagement du protocole, tandis que le Canada, le Japon et la Russie ont annoncé que n’ont pas renouvelé le traité tandis que ses concurrents commerciaux, Chine, Inde et nous ne les engagements similaires.
-La capitalisation du fonds vert pour le climat.
La Comité de transition établis par le mandat de sommet de Cancún et composé d’experts de différents domaines, a travaillé cette année dans la conception des mécanismes du fonds vert.
Différences sur les sources de financement, de la forme d’accès au financement, l’implication de l’initiative privée et des actions qui pourraient bénéficier de ce sac d’argent fin d’empêcher un accord plus d’un mois avant la réunion tenue à Durban, avec le refus des Etats-Unis et de l’Arabie saoudite pour vous abonner à du texte.
Les négociateurs doivent régler leurs différends pour obtenir la libération de l’apport économique nécessaire et encourager les économies en développement à adopter des engagements.
-Réduction des émissions de limiter le réchauffement de la planète à 2 degrés Celsius.
Le consensus scientifique est le plafond sur le réchauffement planétaire à 2 degrés centigrades la température avant de l’ère industrielle, comme le point de non retour plutôt que les conséquences du changement climatique peuvent devenir fatales.
Pour atteindre cet objectif, les pays doivent analyser comment réduire les émissions de gaz qui provoquent le réchauffement global encore plus.
4. Et après Durban?
Pays encore rencontrera à saveur (COP18) à la fin de 2012. Toutefois, s’il n’est pas convenu à Durban une deuxième période d’engagement du protocole de Kyoto, il expirera en 2012 et le monde sera laissé sans le seul juridiquement contraignant accord pour la réduction des émissions. EFE