Washington, 23 mars (EFE).-la réforme de la santé a adopté en 2010 pour le président des États-Unis, Barack Obama, est aujourd’hui de deux ans comme le plus grand accomplissement de son mandat et le plus calomnié par ses adversaires à la veille que la Cour suprême a entendu les arguments en faveur et contre les.
Législation – officiellement appelée Loi des soins abordables pour la santé – a présenté les plus grandes variations dans plus d’un demi-siècle en soins de santé aux États-Unis et vise à fournir ces services à des millions de personnes qui ne peuvent se permettre les.
Obama n’a pas prévu un événement spécial pour commémorer le deuxième anniversaire de l’adoption de la réforme et, en fait, quittera ce même vendredi vers la Corée du Sud à participer à la sécurité du sommet du nucléaire qui se tiendra à Séoul, la semaine prochaine.
Républicain aucun législateur ont voté pour la Loi en 2010 et plus ardents opposants ont dénoncé les changements qui sont ont été introduites progressivement, comme une étape vers un régime totalitaire.
Dans 38 des 50 États des législateurs républicains de pays ont soumis des projets de loi qui porte atteinte ou limitent l’application de la réforme.
Aussi, les gouvernements républicains de 26 États a lancé des poursuites la semaine prochaine pour atteindre la suprême.
Du lundi les neuf magistrats suprême vont entendre des arguments sur l’ingrédient plus controversé de la Loi sur les soins de santé abordable : l’obligation que tout le monde de l’américaine ont l’assurance-santé ou paye une amende pour ne pas avoir.
Le gouvernement de Obama fait valoir que cette exigence est un complément pour les nouveaux mécanismes inclus dans la Loi et qu’ils créeront des systèmes d’assurance de santé abordable pour toute la population.
En USA, la plupart des gens avec une assurance santé obtenir par le biais de leurs employeurs.
Il y a des employeurs qui n’offrent pas d’assurance maladie et les personnes qui n’ont pas ou perdre un emploi perdent assurance.
Ceux qui n’ont aucune assurance et visage les urgences va à l’hôpital, où le coût de votre attention va aux contribuables.
Les opposants « Assurance obligatoire » estiment que cette stipulation dans la Loi viole la Constitution, tous les deux parce qu’il oblige les personnes à l’acquisition d’un service parce qu’il impose aux États a coûté dictées par le gouvernement fédéral.
Le mardi va continuer l’échange d’arguments au sujet de le « assurance obligatoire » et commenceront les arguments sur d’autres aspects de la Loi, qui se déroulera également au cours du mercredi.
La Cour suprême, qui pourrait émettre sa décision dans l’année moyenne peut déclarer une loi inconstitutionnelle ou peut déclarer que l’ingrédient « assurance obligatoire » est inconstitutionnel.
Peut également accepter la constitutionnalité d’une loi qui, selon divers sondages, a l’appui de près de 60 pour cent des américains.
L’opinion de la Cour suprême, que ce soit, ont un impact majeur sur la campagne électorale, dans lequel Obama cherche sa réélection en novembre et ses adversaires républicains ont déjà promis la portée de la maison blanche, sa première étape serait d’éliminer la réforme des soins de santé.
La maison blanche à espérer que la Cour suprême valide la constitutionnalité de la Loi.
« C’est un moment historique parce que nous avons ces arguments devant la Cour suprême, mais nous sommes convaincus que la Cour va dire que c’est la Loi et qu’il restera à la Loi, » a déclaré Cecilia Muñoz, directeur du Conseil de la politique interne de la maison blanche, ce jeudi à une table ronde avec les médias espagnols.
La direction continuera la mise en œuvre de la Loi « parce que c’est très important non seulement pour notre santé, mais aussi pour l’économie du pays et l’économie des familles », dit Munoz, qui prédit que le Congrès ni succédera à révoquer her.
Jorge a. Bañales
Le président des États-Unis, Barack Obama
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