Santé commence un concours dans les instituts pour aider à prévenir l’apparition de l’usage du tabac.
ministère de la santé a une ligne de prévention du tabagisme chez les jeunes.
-un total de 1 493 étudiants qui participent à la neuvième édition de la classe de compétition sans fumée
-près de 10 % des jeunes de fumer quotidiennement contre le double d’il y a une dizaine d’années
Espagne, mars 2013- un total de 1 493 élèves de première et deuxième de l’enseignement secondaire obligatoire (ESO) participent à l’année scolaire en cours dans la neuvième édition de la classe sans fuméequi organise le ministère de la santé, à prévenir l’apparition du tabagisme chez les jeunes et à promouvoir les saines habitudes de vie. Les études confirment que 90 % des fumeurs commencent à fumer pendant l’adolescence et l’âge moyen du domicile vers l’âge de 13 ans.
Concours de classe sans fumée est réalisée en 59 sortes de centres répartis par la communauté de Madrid, avec l’engagement des étudiants et des enseignants de rester sans fumer pendant l’année scolaire en cours et en même temps, de développer des activités de sensibilisation, à la suite d’un guide didactique de l’enseignant. Tâches comprennent l’élaboration d’une bande dessinée, des montages, des loisirs et des activités technologiques.
Le concours se termine par l’élaboration d’un slogan faisant allusion à la prévention du tabagisme et de la remise des prix aux gagnants classes coïncidant avec le 31 mai, le monde la journée sans tabac.
Ce concours fait partie d’un projet européen pour la prévention du tabac sur les jeunes de 12 à 13 ans et comme un programme de la stratégie de prévention au début de la consommation de tabac dans la communauté de Madrid. Depuis son lancement, en 2004, un total de 14 577 élèves 165 écoles ont participé à ce programme de sensibilisation sur le tabagisme.
Le ministère de la santé a l’intention d’intensifier les actions de prévention du tabagisme chez les jeunes et la population scolaire prévue dans le Plan stratégique de la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) du Madrid 2012-2013, présenté ce mois-ci.
Tendance de haut en bas
L’évolution de la proportion de jeunes de 15 à 16 ans qui fument reste une baisse depuis 1996, comme l’attestent les données du système de surveillance, facteurs de risque associés aux maladies non transmissibles (SIVFRENT), visant à la population jeune, qui mesure les modes de vie liés à la santé afin d’établir les priorités et les stratégies d’intervention depuis 1996de suite et coordonne la direction générale des soins de santé primaires, grâce au service de l’épidémiologie de la sous-direction de la promotion de la santé et la prévention.
Selon les dernières informations de le SIVFRENT en 2011, 9,8 % (intimés) jeunes fument quotidiennement, un chiffre qui est très semblable chez les femmes (9,9 %) et des hommes (9,6 %). Montré en 2011, pour la première fois dans la période à l’étude (1996-2011), une prévalence presque identique chez les deux sexes.
Les garçons et les filles, la tendance de la prévalence des fumeurs est en baisse depuis 1996. Si l’on compare la consommation quotidienne moyenne de ces deux dernières années (2010 / 2011) contre les deux premiers (1996 / 1997), on observe une diminution du pourcentage de 60,4 % chez les garçons et 61,2 % chez les filles.