san Jose, 1 mar (EFE).-30 années au Costa Rica chez 20 patients avec le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) était la seule femme, mais aujourd’hui, la proportion est passée d’un à quatre, selon les estimations officielles.
L’ensemble de l’Organisation des Nations Unies sur le VIH / sida (ONUSIDA) a présenté aujourd’hui trois études sur la situation des groupes vulnérables dans le pays d’Amérique centrale : femmes, les autochtones et les prisonniers, qui a mis en garde sur l’absence de politiques et de la statistique approprié d’aborder et de contenir la maladie.
Agent du ministère de la santé, Eda Quirós, Costa Rica, a expliqué à Efe que « aujourd’hui dans la photographie du VIH est très différente des 15 ou 20 ans alors que l’épidémie était associée exclusivement les hommes gais et nous fait de nier qu’il y a des autres populations à risque absolu en raison de leur vulnérabilité, en particulier les femmes ».
« Nous avons une nouvelle photo avec le visage des femmes et des adolescents, le visage des gens qui nous démontrent aussi autre violence sociale ». « L’image précédente nous attire l’attention sur une maladie très grave qui a été la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle, mais nous avons maintenant de nouveaux défis », a ajouté.
Les autorités locales reconnaissent que ne connaît pas le nombre exact de femmes transporteurs du VIH-sida au Costa Rica, mais l’augmentation chez les femmes et les jeunes est plus évidente, suivant la tendance mondiale.
Selon Laura Sanchez, conseiller sur les fonds de Population des Nations Unies pour le VIH (FNUAP), quelque 4 000 personnes reçoivent un traitement antirétroviral dans la santé publique du système du Costa Rica, mais les ont pas les détails exacts de combien sont des femmes, pour qu’elle fonctionne avec des estimations, ce qui indique qu’au moins un cinquième de ces patients sont femelles.
L’étude de l’ONUSIDA a été réalisée avec des transporteurs de 83 femmes du VIH, et bien qu’il n’est pas un échantillon statistiquement représentatif, les militants ont convenu que donner une idée beaucoup plus claire de la situation précaire des porteurs du virus dans le pays.
Par exemple, presque toutes ont été infectés par son mari ou par un couple hétérosexuel, et la majorité ont une scolarité et un revenu familial sous.
74,4 % De l’interviewé dit se sentent victimes de discrimination et 63 % ont déclaré que cette discrimination est venu de sa propre famille.
De Quirós, le sort des femmes est le résultat de « la somme des indignes de carences et de la violence sociale dont ils sont victimes ».
« L’infection est la pointe de l’iceberg qui illustre les nombreux problèmes fondamentaux, » a souligné
. EFE