têtes manifeste du service de médecine interne.
Espagne, novembre 2011- Les chefs de service de médecine interne, qui se rapportent à ce document, avant les manifestations par certaines autorités de la santé en relation avec le décret sur les matières de base et de nouvelles spécialités médicales, souhaitent communiquer ce qui suit :
1. L’Espagne est de loin le plus grand nombre de pays de spécialités-European medical, donc ils devaient être des motifs très puissants et justifiées à aller de l’avant avec la reconnaissance de nouvelles spécialités médicales et donc s’en éloigner, si possible, réalité européenne.
2. Un plus grand nombre de spécialités n’est pas synonyme de qualité, et toujours transporte entraîne une fragmentation des connaissances et des soins de santé, une augmentation des coûts et les problèmes de viabilité et d’équité. Cela signifie aussi un plus grand nombre de visites par an aux spécialités différentes pour chaque patient, avec des effets nocifs pour la santé des patients et l’économie du système.
3. Au cours des dernières années, nous assistons à un changement en besoin de soins de santé pour les maladies chroniques pandémique. Beaucoup de gens souffre de bon nombre de ces maladies pendant de nombreuses années. Ces patients ont besoin de professionnels capables de répondre à chacun d’entre eux d’une manière globale. À cela, longtemps nous avons été exprimant la nécessité d’adapter les programmes de formation des spécialités médicales aux besoins de santé et le profil des patients actuels. Ce fut l’origine des matières de base du projet qui nous ont toujours défendu.
4. Nos services sont un axe vertébral de soins de santé pour les maladies médicales en Espagne, étant responsable de 16 % des rejets de l’hôpital, sont représentés dans tous les types d’hôpitaux et s’est engagés à l’efficacité du système de santé, qualité et enseignement médical.
5. Notre spécialité a été fondamentale en ce qui concerne les problèmes de santé pendant les dernières décennies, comme les urgences médicales, les maladies chroniques, les patients pluripatológicos, infection par le VIH ou maladies importées.
6. Les besoins en soins de santé de haute spécificité qui, sans aucun doute, ils existent en raison de la complexité croissante de la pratique médicale, ils ont leur place et un cadre dans la Loi sur la gestion des professions de la santé avec la reconnaissance des zones de formation spécifique, qui est de développer des années. En leur sein, il peut également inclure les domaines de la formation des maladies infectieuses et d’urgences, reconnaissant ainsi l’effort, le dévouement et la contribution de valeur de plusieurs professionnels de la médecine interne et autres spécialités médicales.
7. La société espagnole de médecine interne (SEMI) et de la spécialité nationale Comité ont présenté des nombreuses allégations échouées, la forme et le fond, les brouillons de décrets de matières de base et de nouvelles spécialités médicales. Nous est un comportement inacceptable de certaines autorités de santé qui répondent à des allégations publiques d’autres groupes professionnels à moins que le ministère a répondu par écrit à nos allégations, suivant les canaux établis pour ce faire, avec un manque évident de transparence et de respect.
8. Les décisions sur la politique de la santé doivent résoudre des problèmes sans créer de plus grandes et toute approche à l’évolution du système éducatif en médecine au stade actuel d’incertitude politique, la crise économique et le manque de consensus parmi les sociétés scientifiques, doit tenir compte de l’impact de ceux-ci.
9 Nous croyons que les changements essentiels dans la transposition de l’approvisionnement médical spécialisé doivent obéir à nouveau l’apparence de connaissances, des changements importants dans l’organisation des systèmes de santé ou de pressage consolidée des besoins de la population assistée et ont tendance à synthétiser, plus souple et donner la perméabilité au système de formation de posgraduada. Aucune de ces situations peuvent être vus dans les décisions que nous prétendons qu’ils se posent par corporatives pressions et menaces de l’Union.
Pour toutes ces raisons, nous nous opposons à fortement l’adoption de nouvelles spécialités médicales en Espagne.
Son adoption conduirait à la modification des portefeuilles existants de nos services cliniques, les programmes de formation de notre spécialité, la réorganisation des centres de santé et nécessiterait la négociation des degrés doubles possibles de spécialistes, la réorganisation de l’offre de places d’écoleet la définition des responsabilités médico-légales. Tout cela sans une preuve substantielle qui permettra d’améliorer la qualité des soins ou va faciliter la durabilité du système de santé.
Dans de telles circonstances, nous devions réexaminer notre soutien pour le jugement et l’introduction du projet de matières de base dans les hôpitaux d’enseignement espagnols.