Genève, 2 avril ( EFE).-la technologie de l’information et de la communication ( TIC) peuvent contribuer avec 87 % du total de la réduction des émissions de gaz qui provoquent le réchauffement climatique qui est nécessaire pour empêcher une hausse des températures de plus de 2 degrés Celsius.

Donc se dégage de l’étude publiée aujourd’hui par l’international Union des télécommunications (UIT) – une Agence technique des Nations Unies-, dans lequel on estime que d’ici 2020, le potentiel de réduction des émissions des TIC grâce égale à 7,8 gigatonnes de gaz à effet de serre.

Scientifiques ont montré une convention qui exige une réduction totale de 9 gigatonnes de garder la hausse de la température mondiale en dessous de 2 degrés Celsius, ce qui pourrait limiter les effets plus néfastes du changement climatique.

Le rapport de la Commission sur les services à large bande de l’UIT, qui favorise l’expansion de ce service, prenons l’exemple de l’Allemagne, où il considère qu’un quart des émissions totales, avec l’utilisation appropriée des TIC pourrait réduire.

De prendre le cas d’une grande puissance émergente, souligne qu’une augmentation de 10 pour cent de la pénétration de la bande à large bande en Chine pourrait signifier une augmentation de 2,5 pour cent de leur produit intérieur brut (PIB) en même temps.

« Large bande peut aider le monde vers une économie faible consommation en énergie fossile de transition », selon le rapport, rappelant qu’il ne fait pas partie de la vie moderne n’est pas affecté par les technologies de l’information et des communications, avec plus de 5 000 millions abonnements pour téléphones mobiles et plus de 2 milliards d’utilisateurs d’internet.

Afin que tous les pays ont bénéficié de plus uniformément que les technologies TIC d’aujourd’hui, la Commission de la large bande ILO a soulevé parmi ses objectifs que tous les pays par la politique d’ici à 2015, de stratégie ou de plan d’accès à large bande rendre ce service plus accessible en termes technologiques et économiques.

Selon leurs estimations, 40 % des ménages dans les pays en développement aient accès au haut débit internet d’ici à 2015 et son coût ne doit pas dépasser 5 % du revenu mensuel moyen.

Les experts estiment que, dans les trois ans, 60 pour cent de la population mondiale utilisent internet, 50 pour cent dans les pays en développement et 15 pour cent dans les pays les moins avancés. EFE