La Paz, 26 Aug (EFE).-Indiens boliviens opposés à la construction d’une route qui passe au travers d’un parc naturel aujourd’hui a repris sa marche de protestation parmi les Amazon et La Paz, à l’échec d’une nouvelle tentative au dialogue avec le gouvernement du président Evo Morales, sources officielles ont signalé.
Ministre de développement productif, Teresa Morales, qui négociait au début du dialogue sur le conflit dans la région amazonienne, il regrette que les Indiens reprennent la marche, malgré la décision de l’exécutif de remonter à placer les dix ministres, la moitié du Cabinet du gouvernement, des pourparlers.
Des représentants des groupes ethniques dans l’est et l’ouest du pays a commencé à la protestation le 15 août dernière et marchait à 110 kilomètres de la ville de Puerto San Borja, où ils étaient quatre jours en attente pour béton dialogue.
Les groupes ethniques, qui demande à rencontrer le président Morales, rejettent un projet routier qui traversera le territoire Indígena Parque Nacional Isiboro compétitifs (Tipnis) pour rejoindre les départements de Cochabamba (au Centre) et de Beni (nord-est).
« Les dirigeants savaient qu’ils ont été chercher les dix ministres et vint à fuir la place parce qu’ils sont évitant le dialogue, » a déclaré le ministre, pour s’assurer que ce matin aurait pu être installé les cinq premières tables pour le dialogue avec les autorités.
Il a ajouté que les dirigeants doivent assumer la responsabilité pour le sort de deux nouveaux-nés et les autres enfants qui sont à leurs mères dans la mobilisation qui cherche à atteindre La Paz marche 500 milles pendant plus d’un mois.
Selon le haut fonctionnaire, la “rupture de dialogue” par les peuples autochtones sera discutée à niveau le plus élevé à La Paz, où aujourd’hui seront les ministres et les négociateurs de l’exécutif.
Le président de la Confédération des peuples autochtones les peuples de l’est (Cidob), Adolfo Chávez, aujourd’hui déclaré aux médias, à sa discrétion, le gouvernement n’avait pas garanti la présence de dix ministres dans le port de San Borja, mais si enfin toutes les autorités de voyagent à l’Amazonie maintenant doit aller à la rencontre des autochtones colonne.
Le président Morales défend la route qui sera financée par le Brésil avec l’argument qu’il est clé pour l’intégration de route, même si les populations autochtones l’accusent de vouloir promouvoir avec cet itinéraire à leurs bases de producteurs de coca dans le domaine du Chapare.
Le représentant a également été accusé de contredire son discours pour la défense de la “terre mère” parce que le Tipnis est une jungle de 12 000 kilomètres carrés, reconnu par sa riche diversité de la faune et de flore.
Les Boliviens indigènes
marcher le dernier 16 août 2011, avec la rivière de Tijamuchi, dans l’Amazonie bolivienne, au cours de la deuxième journée d’exiger le président Evo Morales pour arrêter la construction d’une route. EFE/fichier