Bogota, 1er décembre (EFE).-l’Amérique latine, où il y a 1,5 millions infectés par le VIH, a annoncé aujourd’hui nouveaux efforts dans la lutte contre le sida, principalement, visant à réduire à zéro de nouvelles infections et de décès et de prévenir la transmission mère-enfant du virus, ainsi que pour lutter contre la discrimination.
Actions Amérique latine ont répondu à l’appel de l’ONU, qui cette année a porté précisément, la Journée mondiale de la lutte contre le sida dans le but d’atteindre le zéro de nouvelles infections par le Virus de l’immunodéficience humaine (VIH), qui, en 2010, s’élevait à 2,7 milliards de dollars dans le monde, 21 % moins d’enregistré en 1997.
Sur cette ligne, Brésil, reconnu pour leurs politiques de prévention et de leur lutte pour l’accès aux médicaments low-cost, a lancé la campagne « Sida a sans préjugés. » « Prévenir », adressée à jeunes homosexuels et les travestis, un des groupes dans lesquels plus augmenté le taux d’infection au cours des dernières années (10.1 pour cent au cours des 12 dernières années).
Également dans le domaine de la prévention, en Équateur, où l’on estime qu’il y a actuellement au moins 18 000 personnes vivant avec le VIH, la Croix-Rouge a annoncé son soutien aux mesures visant à éduquer le public sur la maladie, de lutte contre l’abus des drogues et la promotion du sport, pour éviter les situations de « vulnérabilité ».
Au Nicaragua, où 6.406 cas d’infection par le VIH ont été détectés depuis 1987, le gouvernement estime que le sida est devenu un “problème de développement”, a décidé de consacrer davantage de ressources et a ouvert un laboratoire de biologie moléculaire afin de combattre et prévenir cette et autres maladies.
Alors qu’en El Salvador, qui depuis 1984 a inscrit 27 000 cas de VIH, le représentant de l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS), José Ruales, a souligné que cette nation “atteint une couverture de 74,5 % des adultes atteints du VIH” réception de traitement.
« Les progrès que nous avons fait prouver que peuvent relever le défi d’ayant nulle discrimination et zéro zéro de nouvelles infections les décès liés au sida », considéré comme le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, qui aujourd’hui exhorté les pays à envisager un financement accru pour mettre fin au problème.
à cet égard, le gouvernement du Guatemala a rappelé aujourd’hui qui investit environ 19,08 millions de dollars de traitement pour les personnes infectées par le VIH, tandis que le programme des Nations Unies sur le sida (ONUSIDA) et la Croix-Rouge a lancé l’initiative “pour voir à comprendre”, afin de lutter contre la discrimination dans cette nation centroamericana.
Aussi plusieurs institutions au Mexique, où il n’y a libre accès aux médicaments antirétroviraux depuis 2003, demandé qui permettra de renforcer les mesures visant à lutter contre la stigmatisation des personnes atteintes du sida, qui a touché environ 150 000 personnes depuis 1983 dans le pays.
En outre, l’OPS a mis en évidence les progrès réalisés par certains pays de la région, tels que Cuba (qui a en moyenne annuelle d’un ou deux des naissances d’enfants infectés), dans la réduction de la transmission mère-enfant du VIH.
OPS, Agence régionale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), estime que le taux d’appels de transmission verticale en Amérique latine et les Caraïbes est de 15 %, « significativement plus élevé » que les 2 % qui est nécessaire pour assurer l’élimination, mais inférieure à 35 %, état d’avant les interventions de santé publique.
à cet égard, aux États-Unis.UU. et la République dominicaine, nation où quelque 58 000 personnes sont porteurs du virus – 60 pour cent de femmes–a signé un accord pour réduire la transmission du VIH de la mère à l’enfant de moins de 2 % avec une stratégie qui s’exécutera dans 16 hôpitaux dominicain.
Jeudi, plusieurs pays ont également pris à agiter pour l’accès universel aux traitements par personnes.
Au Honduras, où les 29.257 gens ont contracté le VIH depuis le premier cas a été enregistré en 1985, des milliers de personnes marchent pour sensibiliser à la gravité du problème, avec des messages faisant allusion à la fidélité du couple, l’utilisation de préservatifs et de messages sur le coût élevé du traitement et de discrimination.
Et l’obélisque de Buenos Aires emblématique, vêtus de rouge pour marquer la Journée mondiale de lutte contre le sida, la maladie en Argentine qui touchent environ 130 000 personnes, dont la moitié d’entre eux condition inconnue.
Également jeudi, le gouvernement de la Colombie, pays dans lequel depuis 1983 a été 83.467 cas d’infection par le VIH, il a émis un fonctionnaire timbre-poste dans le cadre de la Journée mondiale contre le sida.
Et au Paraguay, où il y a 13 000 porteurs du VIH, le ministère de la santé appuie une journée de sensibilisation au centre-ville de Asuncion.
Certaines personnes exécutées acrobatie, à la pointe de l’obélisque de Buenos Aires pour célébrer la Journée mondiale de lutte contre le sida, la maladie en Argentine qui touchent environ 130 000 personnes, la moitié d’entre eux statut inconnu. EFE