Sao Paulo, 21 nov (EFE).-ancien président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a rejoint aujourd’hui dans un hôpital à Sao Paulo pour commencer le second tour de la chimiothérapie sur le cancer du larynx qui a diagnostiqué le mois passé.
Lula, 66 ans, utilisé un chapeau noir et une chemise de la même couleur quand il rejoint lundi par une des portes latérales de l’hôpital libanais syrienne, en compagnie de son épouse Marisa Leticia et son personnel photographe, Ricardo Stuckert.
L’exmandatario a reçu un diagnostic de cancer du larynx le 29 octobre et deux jours plus tard a commencé le traitement par chimiothérapie dans le même hôpital, qui se rend à médicale des vérifications de routine
Le Secrétaire général de la présidence brésilienne Gilberto Carvalho, un ami personnel de Lula, lui a rendu visite dans sa chambre et dit que les journalistes que le président semble bon et qu’il est animé pour cette phase de traitement.
Selon Carvalho, Lula “est entier, confiant, crazy revenir à un forum” et attendre février prochain, traitement une fois fini, peut retourner à la vie publique et aller à ses disciples avec les salutation “compagnons, camarades” dans leur discours.
Carvalho a ajouté que Lula est plus heureuse parce que son équipe, Corinthiens, hier à battre l’Atlético Mineiro 2-1 et est très proche de remporter le titre de champion brésilien.
« Après cet objectif hier d’Hadrien, il est très heureux, » dit Carvalho sur l’esprit de Lula, directeur pour la vie des Corinthians.
Selon Roberto Kalil, médecin personnel de Lula, l’ancien que président devra passer aujourd’hui à l’hôpital et si elle n’est pas présenter tout effet indésirable à la chimiothérapie peut retourner mardi à son domicile à São Bernardo do Campo, municipalité de la región metropolitana de Sao Paulo.
Lula
de 66 ans, utilisé un chapeau noir et une chemise de la même couleur lorsqu’il rejoint lundi par une des portes latérales de l’hôpital libanais syrienne, en compagnie de son épouse Marisa Leticia et son personnel photographe, Ricardo Stuckert. EFE/RICARDO STUCKERT/Institut LULA