Madrid, 13 feb ( EFE).-le ministre de la santé, services sociaux et l’égalité, Ana Mato, il est proposé de favoriser le fonctionnement de l’ Observatoire de l’État sur la violence contre les femmes, qui aura « un rôle important » dans la lutte contre la violence sexiste.

Mato a présidé aujourd’hui la réunion plénière de l’Observatoire, dont la création est prévue par la loi contre la violence sexiste, et sa fonction est de conseils, évaluer, préparer des rapports et des propositions d’action sur cette question.

Département de Mato a déclaré que la réunion a eu lieu dans le cadre de la stratégie nationale pour l’élimination de la violence entre les sexes, dont le ministre a annoncé jeudi dernier lors de son audience à la Commission de l’égalité du Congrès.

Ajout de Mato viennent, entre autres, le Secrétaire d’État pour les représentants de services et de l’égalité, Juan Manuel Moreno, sociales des ministères de la Justice, intérieur, finances et administration publique et l’éducation, la culture et des sports.

Institutions de l’État comme le Conseil général du pouvoir judiciaire et le parquet contre la violence sur les femmes, les communautés autonomes et des entités locales ont aussi été représentées.

Qu’il fournit pour le règlement de l’Observatoire ont été présentes associations de femmes, les entreprises, les syndicats, les associations de consommateurs, des ONG et des experts dans l’étude de la violence contre les femmes.

Pour chacun d’entre eux, comme dit le communiqué, le ministre a demandé la « collaboration » pour optimiser les politiques visant à la fin de la violence fondée sur le sexe et objectifs est marquée, entre autres, le soutien aux victimes, afin qu’ils dénoncent et impunis tout agresseur.

« Le silence est complice de la violence », a souligné Mato, qui a été fixé également comme aide prioritaire aux mineurs qui vivent avec les victimes et une « attention particulière » pour les femmes qui sont dans des situations de plus grande vulnérabilité.

Sont les axes fondamentaux du Plan personnalisé et une tâche qui vise à impliquer « toute société ».

Comme participants au maximum, selon le ministère, la demande a été reçue « positive » et a exprimé sa volonté de travailler sur cette.

L’Observatoire État auront un « rôle important » dans ce travail et fera un diagnostic de l’ampleur du phénomène et de son évolution, conseiller des politiques « plus rigoureuses » dans ce domaine.