Manaus (Brésil), 21 nov (EFE).-les ministres et les délégués de la Bolivie, Brésil, Colombie, Équateur, Guyana, Pérou, Suriname et Venezuela, qui forment l’organisation du traité de coopération amazonienne (ATCO), discuteront demain des projets de développement dans cette région qui possède un des plus sensibles et menacé les écosystèmes de. la planète
XI la réunion des ministres des affaires étrangères des pays membres de l’OTCA se tiendra dans la ville brésilienne de Manaus, au coeur de la plus grande vegetable poumon dans le monde et servira également à s’assurer que l’Amazone pays cotejen leurs positions en vue du sommet sur le climat changent (COP-17), qui aura lieu à Durban (Afrique du Sud) à partir de semaine prochaine.
Également la rencontre sera la première occasion pour les représentants des huit pays qui partagent l’Amazone pour discuter de ses propositions pour la Conférence sur le développement durable Río + 20 au Brésil et à l’ONU sera organisée en juin de l’année prochaine, car ils ont expliqué les sources officielles brésilien.
Au-delà de ces nominations internationale à venir, les ministres de l’OTCA devraient faire un examen des mesures prises par chaque pays dans le cadre de l’Agenda stratégique pour l’Amazonie, région, adopté à Lima par ce corps dernière année régional.
Ce document met en avant des objectifs divers, notamment en termes de protection de l’environnement, mais aussi du soutien pour les peuples autochtones dans les domaines de la santé et l’éducation et le développement durable dans diverses industries, en mettant l’accent sur le tourisme d’aventure et de profil écologique.
Bien que la préservation de l’écosystème est l’un des objectifs clés de l’Agenda stratégique, ce document a également proposé des mesures sociales pour améliorer la vie des 34 millions de personnes qui ont de la région, dont 25 millions vivent dans la partie brésilienne, qui est le plus vaste.
Selon un récent rapport de l’Amazone régional mixte (ARA), un réseau de huit pays, au cours de la dernière décennie, il y a eu des progrès sociales importants, mais les inégalités, les mouvements sociaux du travail informel et les lacunes dans les services de santé et d’éducation persistent dans toute la région.
« Amazon le reste des avantages socio-économiques marginalisés et du développement national dans chacun des pays du bassin, » affirme l’étude préparée par l’ARA, rapporte la semaine passé.
Au niveau environnemental, soutient cette prédation contrôle “aucun des pays amazoniens a été capable de” générée par l’activité croissante des industries légales ou illégales, ainsi que la perte de forêts causée par les projets d’État.
Parmi les cas récents sont inscrits le récent conflit entre le gouvernement bolivien et les peuples autochtones qui étaient opposés à une route qui serait construite avec brésilien grâce à un financement du sanctuaire écologique ou de manifestations au Brésil contre la centrale hydroélectrique de Belo Monte, qui sera construit dans la jungle amazonienne.
Dans le cadre de l’onzième réunion des ministres des affaires étrangères de l’OTCA à Manaus aura lieu le mercredi un forum sur le développement durable qui réunira des experts dans l’environnement des huit pays.
Fois la réunion ministérielle et le séminaire seront faits dans un hôtel situé au milieu d’une forêt dense et sur les rives de la rivière Noire, le principal affluent de l’Amazone, qui est à son tour la plus longue et la plus abondante dans le monde et avec la forêt qui entoure ce juste déclarer comme l’une des sept merveilles de la nature. EFE