Bakou, 13 sep (EFE).-la lutte contre les maladies non infectieuses exigera de 48 pour cent du monde du PIB, a déclaré aujourd’hui à Bakou le Secrétaire général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan

« Dans les vingt prochaines années le monde plus de 30 milliards de dollars, 48 % du PIB des coûts de la lutte contre les maladies non infectieuses », a déclaré Chan lors de la réunion du Comité régional européen de qui a tenu ces jours dans la capitale de l’Azerbaïdjan.

La plus haute autorité du qui a indiqué que ces maladies détruisent les réalisations de l’économie du pays.

« Y travailler pour prévenir et guérir les gens, mais nous ne pouvons pas éliminer les causes sociales de leur occurrence (de maladie), qui sont de la pollution de l’air, d’eau, de stress et de produits alimentaires de mauvaise qualité », a déclaré.

Le Secrétaire général de l’Agence internationale a souligné que « aujourd’hui les chances des systèmes de santé sont sous le œil vigilant de la population, ainsi que des investissements par les États, les ressources des divers fonds doivent être utilisés ».

Chan, en revanche, a souligné que le qui devraient influencer les industries alimentaires afin qu’ils réduisent le sel et le sucre dans leurs produits, “avec une attention particulière à la santé des mères et des enfants”.

Un travailleur de la santé qui

vaccine un enfant contre la polio. EFE/fichier