Washington, 2 avril (EFE).-le président des États-Unis, Barack Obama, a déclaré aujourd’hui qu’il espérait que, à la fin, la Cour suprême confirme la validité de la réforme de la santé 2010, parce que, à son avis, c’est « constitutionnel ».
« Fiducie que la Cour suprême n’aura pas ce qui serait une étape extraordinaire et sans précédent d’abroger une loi approuvée par une majorité forte dans un congrès élu démocratiquement », dit Obama, dans une conférence de presse conjointe avec le président mexicain Felipe Calderon et le premier ministre canadien Stephen Harper.
« Est constitutionnel. » « C’est non seulement mon opinion, mais l’avis d’experts juridiques dans l’ensemble de la gamme idéologique, y compris les deux juges de la Cour d’appel très conservateur », a déclaré Obama.
Pour le président américain, l’affaire devant la Cour suprême est un « bon exemple » de la mise en garde qu’un panel de juges, ne pas élu par le peuple d’abroger une loi qui est pourquoi a réitéré son optimisme que la Cour suprême reconnaît cette réalité et « ne donne pas cette étape ».
« Ce n’est pas un argument abstrait. » « L’absence de la disponibilité des soins de santé influe sur la vie du peuple » et déjà, la réforme a donné une couverture de 2,5 millions de jeunes, a souligné Obama.
La semaine dernière, la Cour suprême a entendu orale arguments pour et contre la réforme des soins de santé, en mettant l’accent sur quatre aspects fondamentaux de la constitutionnalité de la Loi, la principale réalisation du mandat de Obama et qu’il a été approuvé par le Congrès en 2010 sans le soutien de l’opposition républicaine.
Le thème central, qui dépend de la survie de tout ou partie de la réforme, est si le Congrès peut ou ne peut pas, au sein de leurs pouvoirs constitutionnels d’exiger que les Américains d’avoir l’assurance maladie obligatoire sous peine d’une amende.
Entre leurs éléments, la réforme des soins de santé complexe – la plus importante de près d’un demi-siècle dans le pays – exige que tous les Américains qui n’ont pas d’assurance par le biais de leurs employeurs ou les programmes d’aide sociale l’acquérir à partir de 2014 ou payer une amende.
Est la première fois que le président américain est prononcé directement sur le débat national sur la réforme des soins de santé, qui est devenu un enjeu électoral. Républicains ont promis de le révoquer si récupérer la maison blanche en novembre prochain.
Obama a fait ces déclarations lors d’une conférence de presse conjointe à la fin d’un sommet trilatéral avec Calderon et Harper, afin de renforcer encore la coopération de sécurité et économique en Amérique du Nord.