Washington, 23 mars ( EFE).- Pan American Health Organization ( PAHO) a exprimé aujourd’hui sa préoccupation sur la situation du VIH dans les Caraïbes et a demandé à voir une recommandation visant à garantir les droits des personnes avec le VIH en Amérique.

OPS, Agence régionale de l’ Organisation mondiale de la santé, a déclaré lors d’une audience devant la Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) qu’il y a des éléments juridiques, sociales et politiques qui entravent l’accès au système de santé et les droits fondamentaux des séropositifs dans cette région.

Pourquoi il a exhorté les indépendants de l’Organisation des États américains (OEA), organisme responsable pour assurer des droits dans la région, de développer un interaméricaine de recommandation afin que les États du continent à garantir les droits des personnes séropositives.

L’établissement de santé préconisée modifiant les lois punitives sur ce groupe, appliquer correctement les mécanismes de protection de la Constitution et même réformer les lettres Magnas de certaines des clauses pays.

OPS a insisté sur les difficultés d’accès aux préservatifs, traitement des antirétroviraux et des soins de santé dans la région des Caraïbes, où l’on estime qu’il y a environ 50 quotidienne d’infection au VIH, a expliqué le docteur des OPS Edward Greene.

Son collègue Javier Vázquez, souligne dans le même temps cette région « il y a un grand manque de connaissances parmi les juges, les parlementaires et les dirigeants », sur les problèmes du VIH et sur les solutions à prendre.

Porte sur les Caraïbes, spécialistes de la santé a souligné les graves problèmes des immigrants séropositifs dans la région pour l’accès aux traitements, car ils ont souvent restreint l’accès aux services de santé.

Le commissaire de la CIDH José de Jesús Orozco Henríquez a répondu que l’institution interaméricaine sera « sensible » aux propositions pour « sur le plan institutionnel pour protéger cette population » et a souligné que la proposition « va être correctement pondérée par la Commission ». EFE