Jaime Velazquez

Johannesburg, 20 mars (EFE).-le rhino s’apprête à disparaître en Afrique du sud d’ici 2020 par le braconnage, alerte réserves privées pays, mesures obligeant le gouvernement à empêcher l’extinction du mammifère avec la fameuse corne sur le museau.

« Selon une étude présentée par l’Association des propriétaires de rhinocéros, de continuer à ce rythme, le braconnage, l’espèce pourrait être éteinte en huit ans, il a dit à Efe Lorinda Hern, propriétaire du parc des lions et rhinocéros, une réserve privée dans la banlieue de Johannesburg,.

Au Sud Afrique, il y a environ 400 réserves privées qui maintiennent un de chaque quatre rhinocéros du pays, où au moins 108 exemplaires ont été tués dans les deux premiers mois et demi cette année, selon les données des parcs nationaux (SANPARKS) d’Afrique du Sud.

En 2012, le chiffre pourrait atteindre 1 300 animaux, triplant le record atteint en 2011, avec 448 animaux tués selon le Jabulani Ngubane, responsable de la sécurité de la réserve de Ezemvelo Kuazulu-natal (est).

Selon Ngubane, cité cette semaine par le Journal sud-africain « The Star », les braconniers sont orientent leur activité des parcs nationaux, où la sécurité, pour les plus petites réserves naturelles privées a augmenté de.

Estimation d’experts qui, en Afrique du Sud, allez sur environ 20 000 « frinos », comme il est populairement connu pour ces animaux en anglais, bien que le nombre exact est inconnu.

« Il faut un bon recensement de rhinocéros en Afrique du Sud, parce que le gouvernement croit qu’il a de temps pour réagir et il ne fait pas assez, » dit Hern.

Propriétaires de réserves naturelles privées sont mise en oeuvre de mesures visant à prévenir le braconnage de rhinocéros, dont atteint corne plus élevé que l’or sur les prix de marché noir asiatique, où le prétendu médicinales et afrodisiacas propriétés lui sont attribués.

« Est une course poursuite ». « Nous devons accroître les mesures de sécurité constamment, depuis que les braconniers apprennent à contourner, » a expliqué à l’Efe Colin Patrick, responsable de la réserve de Montainview, à côté du Parc National Kruger (nord).

Poison d’Ivoire avec des toxines ou de retirer les bois d’animaux sont quelques-unes des solutions que les propriétaires du privé se réserve mis en place afin de prévenir sa chasse de rhinocéros et la perte de votre investissement, qui s’élevait à 300 000 rands (environ 40 000 dollars) par copie.

Le coût des mesures de sécurité contre les braconniers rend presque impossible de garder les cornes des mammifères dans les réserves privées, s’assurer que leurs propriétaires.

« Il a expliqué à l’instant – Hern-, chaque rhinocéros de notre parc est accompagné d’un garde du corps ».

Selon Patrick, « réserves privées sont de plus en plus réticents à voir Rhino par des coûts élevés, et c’est très dangereux ».

« A continué la réserve de Montainview – responsable, nous pouvions voir une très importante population diminuer au cours des dix prochaines années en termes de conservation-».

Matériel pertes il faut ajouter, en outre, les risques posés par le braconnage aux touristes.

« Échec d’avoir aucun conflit, mais si il est arrivé que les touristes ont franchi avec les braconniers », généralement armés de fusils de chasse pour armes de chasse ou automatiques, dit Patrick.

“Si vous voyez, vous tuez, sans aucun doute », a dit Efe Jan Bloschan, chef de la sécurité de la réserve susmentionnée de rhinocéros, lions, il a perdu trois « frinos » par le braconnage en 2010.

Une quatrième copie également récemment décédé des suites de l’anesthésie pendant un traitement d’empoisonner son klaxon.

« Ont perdu par le braconnage de rhinocéros et essayez de les protéger. » « Mais si je devais choisir, serait toujours opter pour ce dernier, « admis Hern.

« Préfère – ajouté amputé de Hern (rhinocéros)-die de l’anesthésie pour le faire avec la moitié de sa tête jusqu’en automne, cédée par la douleur et l’épuisement. » « La cruauté du braconnage est impossible à supporter. » EFE

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