communiqué de presse de la société espagnole de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique (SECPRE) relativement à l’affaire de la prothèse mammaire PIP.
Espagne, décembre 2011- la société espagnole de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique (SECPRE), relativement à l’affaire de la prothèse mammaire PIP (POLY IMPLANTS PROTHÈSES) rappelle que :
-En mars 2010, l’Agence espagnole des médicaments et produits de santé, appartenant au ministère de la santé et de la politique sociale, a publié une circulaire qui a fait remarquer que avait été informé par les autorités de santé français, par l’entremise du système de surveillance des produits de santé, la suspension de la mise sur le marché, distribution, exportation et l’utilisation de prothèses mammaires de POLY IMPLANT gel de silicone, fabriqué par les français de la société POLY IMPLANT PROTHESE ”.
-Même, il a été signalé que ces prothèse a été distribué en Espagne par le biais de la filiale espagnole de cette compagnie, POLY IMPLANT Espagne, qui a cessé ses activités en décembre 2009 ”. Donc exhorté qui les centres et les professionnels de la santé qui peuvent avoir ces prothèses, cesser immédiatement sa mise en oeuvre ”.
– Continue expliquant que personnes qui portent des prothèses mammaires doivent vérifier la carte d’implantation ou rapport clinique, ils ont reçu au moment de l’intervention, si leur prothèse correspondait à la prothèse IMPLANT POLY (PIP). Si cela était le cas, ou si vous avez un doute, devrait être nomination Center qui a pratiqué l’intervention, ou avec le chirurgien correspondant à planifier un suivi correct ”.
En ce sens, la SECPRE conseille que :
-le SECPRE a indiqué à tous ses membres de suivre les directives du ministère de la santé, des affaires sociales et de l’égalité et en particulier, l’Agence espagnole des médicaments et des produits de santé.
-En ce sens, ils conseillent les transporteurs de patients atteints de ce type de prothèse qui viennent à votre chirurgien plasticien, qui effectueront leur examen de l’état de la même.
-SECPRE l’a informé que, compte tenu de la signe minimum ou doute de bris possible de prothèses, ceux-ci sont appris.