Huelva (Espagne), 26 Aug (EFE).-une organisation de l’euthanasie de contester aujourd’hui devant un tribunal dans l’espagnol ville de Huelva (sud) pour restaurer une sonde comateuse malade appelée gavage dont il se retira il y a deux jours dans un hôpital, law enforcement décès Digna et après avoir demandé famille.
Dans une déclaration aux journalistes devant les tribunaux, le droit de vivre, Eduardo Gómez, Association porte-parole a déclaré qu’ils comprennent que cette sonde est un « régulière afin de préserver la vie » désigne une personne qui ne peut pas être nourris soi même.
L’Association considère que la suppression de la sonde d’alimentation à Ramona Estévez, 90 ans et dans le coma, est une affaire de « l’euthanasie », et il a connu « tout ce qui n’est pas naturel mais la mort causé » puni par le code criminel.
« Seems hors de propos d’arrêter cette die femme sous-alimentés, sans l’aide de quelque chose d’aussi fondamentaux que la nourriture, de si voulez être considérée et lui à nouveau pour restaurer la sonde », pointu hors.
Hôpital Blanca Paloma de Huelva retire de la sonde aux malades le passé 26, par décret du gouvernement régional d’Andalousie, où une loi du pionnier de Digna (Espagne), mort, est existant depuis mars 2010.
La vieille femme était entré un mois plus tôt en raison d’un infarctus cérébral apparemment irréversible et était le fils du patient, José Ramón Páez, qui réclame le retrait de la sonde qui nourris à comprendre que son « elle était devenue une machine”au centre-ville.
Cette situation a violé la volonté qui le patient avait diffusé pour les derniers jours de sa vie, à laquelle son fils a décidé, avec l’aide de l’Association droit à mourir dans la dignité, déposé une plainte auprès du ministère de la santé régionaux et du Centre hospitalier.
Andalouse de mort Digna Loi réglemente les droits du patient au cours de la dernière étape de sa vie et les obligations des médecins cherchant, réglementer expressément la limitation de l’effort thérapeutique et interdit à prolonger la vie, “inutile” que ce que l’on appelle thérapeutiques cruauté.
En Espagne, l’euthanasie et le suicide entraide sont pénalisés en vertu du Code pénal par une peine d’emprisonnement de six mois à six ans. EFE