Bogota, Dec 3 (EFE).-un réseau de protection des animaux a dénoncé aujourd’hui le massacre des chats et des chiens “dans les derniers jours” dans la ville de Tuluá, département de Valle del Cauca, dit Efe une source de cette institution.

Le président du réseau de protection de l’environnement et des animaux de Colombie (Redpaa), Marcela Ramírez, dit les Efe que dans une rue de Tuluá est apparu “les corps décapités” de 18 chiens et chats.

Il a souligné que la Redpaa, qui a son siège à Bogotá et est une institution à but non lucratif corroborée avec leurs pairs dans ce département et « a effectivement confirmé qu’il y avait une telle situation », qui décrit aussi regrettable.

Il a expliqué que les plaintes reçues de citoyens point d’abattage en masse de ces animaux a été faite par le Centre des zoonoses de Tuluá.

Ajoutée que par cette situation, le réseau a envoyé une lettre au maire de cette ville, Rafael Eduardo Palau, qui rejettent la situation, qui ont porté le fait “plus” comme “une horreur de cruauté et de mal” même s’il apporte, ou le cas échéant du Centre pour les zoonoses.

Requis, aussi « payer un rapport public sur cette situation » et prendre les mesures correctives nécessaires, y compris la stérilisation massive qui est contrôlées « efficaces, humaines et éthiques abandonnées populations animales ».

Ajoutée reçoit quotidiennement des plaintes concernant les mauvais traitements infligés à des animaux et donc appel à une législation plus forte et il pénalise avec emprisonnement les responsables de ces « actes odieuses ».

En Colombie, il y a eu plusieurs actes contre les animaux, y compris en 2007, l’empoisonnement des pigeons au moins 150.

Les oiseaux ont commencé à apparaître morts dans le Central Plaza de Bolívar, situé dans la vieille ville de Bogota et dans un environnement dont sont le siège des pouvoirs de l’exécutif, législatif et judiciaire ainsi que le maire de la ville et la cathédrale Primada.

Une femme empoisonnée avec des oiseaux de la strychnine, produits chimiques utilisés dans la préparation du rat poison, selon les essais de laboratoire effectuées par des experts du service local de santé. EFE