Tokyo, 10 sep (EFE).-le ministre de l’économie, de commerce et d’industrie, Yoshio Hachiro, a démissionné aujourd’hui, après huit jours au bureau, entre les critiques formulées par certains commentaires controversées sur la situation dans la région de Fukushima, épicentre de la crise nucléaire.
Conformément à la télévision publique de la NHK après une visite jeudi pour le malade centrale nucléaire Fukushima Daiichi, le ministre plaisanté aux journalistes lorsqu’il leur dit: « Attention, am radioactif », qui lui a valu une avalanche de critiques.
En outre, chargé de l’industrie traversé les zones proches de la centrale nucléaire de “ghost town”, une définition qui était considéré comme “inapproprié” par les membres de sa formation, le Parti démocrate, dit pour sa part l’agence locale Kyodo.
Ministre du Japon, Yoshihiko Noda, a reçu aujourd’hui Hachiro afin qu’il donnerait des explications sur leurs déclarations lors d’une réunion dans laquelle le ministre a décidé de présenter sa démission, qui a été acceptée.
Sa démission s’est produite en dépit du fait que cet après-midi, entre une controverse croissante, publiquement présenté ses excuses pour avoir « dérangé le peuple japonais et la population de Fukushima » et a déclaré qu’elle continuerait à l’avant-garde de l’industrie, ministère traitant l’énergie nucléaire.
Hachiro âgé de 63 ans, considéré comme un expert dans les questions du travail et de l’agriculture, a juré son poste vendredi dernier avec le reste du nouveau Cabinet japonais dirigé par Noda, qui est arrivé au pouvoir remplacer Naoto Kan
Ce dernier la semaine dernière a dévoilé une démission tant attendue par la critique de sa gestion de la crise déclenchée par le tremblement de terre dévastateur de 9 degrés Richter qui a frappé le Japon est six mois.
Tokyo, 10 sep (EFE).-Japon Rappelez-vous demain à plus de 20 000 victimes du tremblement de terre et du tsunami du 11 mars au service de six mois de la tragédie, qui a provoqué une crise nucléaire et laissé une tâche difficile de reconstruction que le premier ministre, Yoshihiko Noda, engagés aujourd’hui à coup de pouce.
Événements se souvenir du défunt seront répétées dimanche à travers le pays à la 14.46 (05.46 GMT), heure locale, lorsqu’il y a six mois il y a qu’un fort tremblement de terre de 9 sur le Richter a secoué le nord-est du Japon et a déclenché la pire crise Japon rappelle depuis la seconde guerre mondiale.
Aujourd’hui, la veille de la catastrophe, était le jour choisi par Noda de faire sa première visite en tant que chef du gouvernement aux zones détruit, après avoir pris le pouvoir formellement peu plus d’une semaine pour remplacer Naoto Kan
Dans la province de Miyagi, où il n’y a plus de la moitié des victimes de la catastrophe, Noda promis de renforcer la reconstruction de la ravagée, domaines où s’accumuler encore plus de 23 000 tonnes de gravats.
Des dizaines de milliers de personnes restent sans abri permanent en attendant sur la question de savoir si le gouvernement décide où leurs maisons seront construites et seront exigés.
Le premier ministre a déclaré que les demandes des autorités d’Iwate, Miyagi, Fukushima, les trois provinces les plus touchées seront reflétées dans le troisième budget extraordinaire Qu’exécutif se prépare à affronter les coûts astronomiques de la reconstruction.
Ont jusqu’ici été extras approuvé deux budgets pour un total de 6 milliards d’yens (environ 56.700 millions d’euros), et le troisième raidi entre 7 et 8 milliards d’yens plus de réhabiliter le nord-est (entre 66.150 et 75.360 millions d’euros).
La création d’emplois est une autre des engagements qui aujourd’hui adopté Noda, après la catastrophe naturelle obligé de fermer les nombreuses usines dans la région et de la crise nucléaire a gravement touché l’agriculture, les pêches et les élevage de Fukushima.
Est de cette province abrite le central délabré de Daiichi, où les opérateurs de la Tokyo Electric Power (TEPCO), technique et les membres des équipes d’urgence travaillent jour et nuit pour tenter de contrôler la température de leurs réacteurs.
Six mois après que le tsunami qui a causé le système de refroidissement de la plante, le 11 mars avait trois de ses six réacteurs en fonctionnement, l’avis du gouvernement et TEPCO achevé la première phase de la “feuille de route” pour résoudre la crise.
Ce qui signifie que les unités ont un refroidissement stable grâce à un système qui recycle la contamination de l’eau qui s’accumule dans la centrale, et la radioactivité diminue régulièrement “”, selon à TEPCO.
The electric a récemment annoncé que les réacteurs 1 et 3 étaient au-dessous de 100 degrés Celsius et les efforts sont concentrent aujourd’hui sur l’obtention de que cette température demeure stable, conduirait à « l’arrêt froid ».
En outre, l’opérateur de Fukushima rapporte aujourd’hui qui a terminé la trame qui sera un réacteur géant couvert 1, qui cherchera à éviter de répandre des matières radioactives, et à la pluie de temps même inonder cette unité
Est prévu pour couvrir, avec des feuilles de feuilles d’acier et de polyesters, achevée en octobre et je ferai plus tard similaires unités 3 et 4, structures endommagées à tour de rôle par les explosions enregistrées au cours des jours après le tsunami.
2 Réacteur et le pool de combustible usé du réacteur 4 concentrent également encore le travail des opérateurs, dont la valeur a été applaudie largement et a gagné des prix tels que l’espagnol Prince des Asturies de Concord, cette semaine, les soi-disant « heroes de Fukushima ».
Malgré les progrès de l’endiguement de la crise pour reste maintenant la zone d’exclusion décrété dans un rayon de 20 km de l’usine, qui les a obligés à évacuer presque 80 000 familles.
Leur situation est aggravée par un nombre indéterminé de résidents de la province de même qui est allé de peur de radioactivité et, six mois plus tard, ignorer quand ils seront retour.
On estime que seulement le nettoyage des zones résidentielles coutera 220 milliards d’yens (2.080 millions d’euros), a déclaré hier le gouvernement, qui a dit, cependant, combien de temps prendra cet énorme travail.
Tokyo, 10 sep (EFE).-le premier ministre du Japon, Yoshihiko Noda, sont engagés aujourd’hui à redoubler d’efforts pour la reconstruction du nord-est du pays, lors d’une visite à Miyagi, une des provinces plus dévastées par le séisme et tsunami de mars, ce matin a rencontré six mois.
Noda, qui a commencé sa gestion ce mois-ci, s’est entretenu avec les autorités provinciales, qui a promis de renforcer le soutien afin d’accélérer la reconstruction onéreuse des zones touchées par la catastrophe, qui a laissé plus de 20 000 morts ou disparus, plus de la moitié d’entre eux en Miyagi.
Pour elle s’engage à refléter les exigences de la province à la troisième budget extraordinaire qui est en cours d’élaboration pour cet exercice, qui pourrait atteindre 10 milliards d’yens (environ 94.500 millions d’euros).
D’entre eux, entre 7 et 8 milliards d’yens (entre 66.100 et 75.360 millions d’euros) ils vaudraient pour financer la reconstruction de créer un fonds pour lutter contre la force du yen, comme c’est aujourd’hui l’économique quotidien Nikkei.
Le chef du gouvernement, en faveur du financement de la reconstruction avec l’augmentation de la taxe au lieu d’émettre davantage de dette, a également insisté dans Miyagi, sur la nécessité de récupérer le travail pour relancer l’économie des zones détruites.
« Il n’y n’aura aucune reconstruction de la création d’emplois de zones touchées », il a assuré Noda, cité par l’agence locale Kyodo, alors qu’il visitait un vieux marché de pêche qui a été submergé par le tsunami dans la ville de Kesennuma.
Le nouveau premier ministre est entré au gouvernement le 2 septembre, remplaçant Naoto Kan, qui a démissionné quelques jours plus tôt à la critique pour sa gestion de la crise déclenchée par la catastrophe de Calf
Dès la nomination, Noda, Khan du Cabinet a été ministre des finances, a promis de donner un nouvel élan à la reconstruction et à la lutte pour mettre fin à la crise de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi.
La malade de la centrale nucléaire était sa première visite officielle en tant que premier ministre jeudi dernier, lorsque le voyage Fukushima et a rencontré des représentants de la centrale et les travailleurs.
Six mois après la catastrophe, la crise nucléaire a évacué quelque 80 000 familles dans un rayon de 20 km de l’usine, déclarée zone d’exclusion, tandis que beaucoup d’autres dans les régions avoisinantes ont quitté la zone volontairement par crainte de radioactivité.
Le gouvernement et la société TEPCO, exploitant de la centrale nucléaire, s’attendre à apporter des réacteurs à « froid stop » et fermé la crise en janvier 2012.
Les jusqu’à maintenant japonais ministre du commerce et de l’industrie, Yoshio Hachiro. EFE/fichier
un combo facilité hier, montrant les efforts de reconstruction et de nettoyage faites par la population dans le nord-est des aires de Japon dévasté par le tremblement de terre et le tsunami de 11 mars 2011, à Rikuzentakada, au Japon. EFE