Harare, 4 sep (EFE).-le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, souffre de cancer de la prostate qui pourrait leur vie en 2013, conformément à un câble diplomatique des États-Unis filtrés par le site Web Wikileaks et divulgué aujourd’hui par l’État zimbabwéen dimanche « Sunday Mail ».

Transcription du document révèle une conversation en 2008 le gouverneur de la Banque centrale du Zimbabwe, Gideon Gono et l’Ambassadeur des États-Unis puis à Harare, James McGee.

« El le président Robert Mugabe a un cancer de la prostate qui s’est propagé par métastases et qui, selon les médecins, va entraîner sa mort dans les trois à cinq ans », lui dit Gono McGee, selon de la câblodistribution.

« Médecin de Mugabe recommandé de lui afin de réduire ses activités, » ajoute le document.

Toutefois, le gouverneur de la Banque centrale du Zimbabwe a nié avoir jamais fait ces commentaires.

Mugabe, à l’âge de 87 ans, a voyagé cette année au moins cinq fois vers l’Asie, accompagné de son épouse, Grace, pour des raisons médecins.

Selon le porte-parole présidentiel George Charamba, le mariage fait de ces voyages par une opération de la cataracte que Mugabe a subi en janvier dernier et par certains problèmes de dos de son épouse suite à une chute dans son manoir à Harare.

À ce jour, le parti de Mugabe, le national au Zimbabwe Union africaine – Front patriotique (ZANU-PF), a refusé d’admettre que le chef de l’Etat octogénaire a des problèmes de santé.

Mugabe a dirigé le pays solo et péremptoirement depuis l’indépendance du Royaume Uni, en 1980, à l’Alliance dans un gouvernement de coalition avec le mouvement pour le changement démocratique du premier ministre, Morgan Tsvangirai, en 2009.

Dès novembre 2010, influent quotidien dans plusieurs pays ont eu accès à des centaines de milliers des câbles du département d’État américain une fuite par WikiLeaks.

Ce site web consacré à divulguer les documents officiels secrètes, publié à la fin août 134 000 câbles de la diplomatie américaine en ce sens que, au lieu de faite de divulgations antérieures, il jette nues l’identité des sources protégées. EFE