Brasilia, 4 avril ( EFE).- le président du Brésil, Dilma Rousseff, banni maintenant la possibilité de discuter proposé « fantaisiste » à la Conférence des Nations Unies sur le développement durable de Rio + 20, qui se tiendra à Rio de Janeiro en juin prochain.

« Une conférence comme celle-ci n’a pas d’espace pour la fantaisie, » dit Rousseff lors d’un discours lors d’une réunion publique avec les ministres sur les questions de changements climatiques, tenue aujourd’hui au palais présidentiel Planalto

Le Président a souligné que la Mission de la Rio + 20 est de « proposer un nouveau paradigme de la croissance qu’il semble ridiculement éthérée ou fantaisiste » et en tenant compte que « des millions et des millions de personnes » vivant « sans les conditions minimales”.

« Nous devons expliquer aux gens comment ils mangeront, comment vont avoir accès à l’eau et d’énergie. » Ne peut dire que la seule planète avec les énergies éolienne et solaire peut éclairer. « Ne peut pas de toute façon », a déclaré.

Rousseff a fait valoir qu’il faut « comprendre » que beaucoup de pays manque de ressources pour mettre en œuvre une matrice d’énergie renouvelable, comme c’est le cas du Brésil, qui produit près de 80 % de son électricité dans des centrales hydroélectriques.

De l’avis du chef de l’Etat, Brésil doit assumer une position de « leadership » dans la Rio + 20 pour exposer leur expérience dans le développement durable, mais avec « l’humilité » parce que le pays d’Amérique du Sud doivent « faire plus ».

La Río + 20 aura lieu à Rio de Janeiro entre les prochains 20 et 22 juin, 20 ans après le sommet de la terre, a convoqué dans la même ville en 1992, qui a jeté les bases du concept de développement durable.

Organisateurs s’attendent la participation d’une centaine de chefs d’Etat et de gouvernement à cet événement, qui vise à retracer les nouveaux objectifs d’améliorer dans les prochaines années, la relation entre développement économique et des soins de nature.

Une des propositions qui a atteint un degré élevé de consensus parmi les négociateurs, selon les sources brésiliens, est la nécessité de réformer le programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) pour affecter un budget stable et de lui donner des fonctions exécutives.

La présidente du Brésil, Dilma Rousseff, a déclaré que la Mission de la Rio + 20 est de proposer un nouveau paradigme de la croissance qu’il semble ridiculement éthérée ou fantaisiste. EFE/fichier