Communiqué SEMG.

Espagne, mai 2012.- avant la publication dans la Gazette officielle (24 avril) du décret-loi Royal 16/2012, du 20 avril, des mesures urgentes pour assurer la durabilité du système national de santé et d’améliorer la qualité et la sécurité de ses prestations, la société espagnole de médecins générales et de famille (SEMG) exprime son désaccord avec certaines des mesures qui comprend le décret et que ils sont destinés à être imposé et sans la participation et le consensus des professionnels qui font partie du système de santé national et veut rendre publique :

-le rejet catégorique de cette société scientifique de toutes les mesures qui constituent une attaque directe aux professionnels de la santé. Ceux qui sont touchés par ces changements sont des professionnels qui ont gagné, le long d’une longue carrière, droit du travail qui est maintenant leur usurpe justification d’absence, aucune preuve que ces changements s’assurer de la durabilité et améliorent la qualité et sécurité, plus encore lorsque l’intégration fonctionnelle de ces est pratiquement étendue et sape pas n’importe où la qualité de la prestation soins. Cette décision soulève une incertitude juridique étant donné qu’elle définit le précédent qui peut modifier unilatéralement les conditions.

-l’inquiétude que continue de considérer le fait qu’aucun mécanisme pour assurer la continuité du traitement des patients chroniques, maintien de la bioapariencia et assurer la prescription gratuitement de l’option n’est pas établi clairement, sachant que cela peut affecter l’adhérence thérapeutique et augmentation des problèmes liés à la drogue.

-l’inquiétude générée par le fait que le catalogue comme assurés ; Sur le plan conceptuel, c’est un pas en arrière pour retourner au passé de l’assurance.

De la société espagnole de médecins générales et de famille, nous réaffirmons notre volonté de coopérer dans la recherche de mesures à soumettre effectivement un avantage démontré pour l’amélioration du système de santé en termes de qualité, l’équité et la durabilité ; et tout comme nous soutenons des initiatives visant à ce (contrôle du tourisme de santé, établissement de centrale d’achat, réduction de médicalisation sociale excessive), nous avons toujours ne pas comprendre, ni part, établi des décisions spécifiques plutôt qu’entreprendre une véritable rénovation du fonds qui prend en compte les mesures structurelles indispensables qui depuis longtemps ont été prétendant.

Conseil d’administration de la SEMG