Genève, 30 nov (EFE).-sexuelles entre les hommes et le manque de programmes nationaux de prévention et de traitement visant à ce groupe sont plus alimente l’épidémie de sida en Amérique latine, où il y a 1,5 millions de personnes infectées par le virus VIH.
Ils sont données et conclusions incluses dans le « rapport sur la réponse globale au VIH/sida », produit par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’UNICEF et ONUSIDA et lancé aujourd’hui à Genève.
Contre la tendance mondiale qui a enregistré une baisse de 15 % des transporteurs de personnes du VIH au cours des cinq dernières années, en Amérique latine le nombre total de personnes vivant avec le virus a augmenté de 1,3 millions de dollars en 2001 à 1,5 millions en 2010.
Ce qui est des données apparemment négatifs, il n’est pas du tout, que le rapport attribue cette augmentation à l’augmentation des personnes qui reçoivent un traitement antirétroviral, qui a fait de réduire le nombre de personnes qui meurent de causes de sida.
En 2010, le nombre de décès dans la région a été 67 000 d’un sommet de 83 000 de 2001 à 2003.
Dans la même période, il y avait une baisse de l’incidence du VIH chez les enfants de moins 15 ans : 47 000 transporteurs en 2001 a passé à 42 000 en 2010 ; de nouveaux infectées chaque année, 6 300 a passé à 3 900 et décès de causes liées au sida est passé de 4400 à 2 700 par an entre 2001 et 2010.
Dans ce contexte de données positives, la préoccupation de l’Organisation des Nations Unies est la propagation du virus par les rapports sexuels non protégés entre hommes, un groupe qui, dans la dernière décennie, la prévalence du virus a été de 10 % dans 9 des 14 pays de la région.
Les taux d’infection dans ce groupe atteint 21 % en Bolivie, de 19 % dans les régions de la Colombie et l’Uruguay et 12 % en moyenne dans les 10 villes du Brésil et les trois villes du Honduras lorsque effectué des études de cas sur ce sujet.
Selon le rapport, les hommes qui ont des relations sexuelles avec d’autres hommes en Amérique latine sont 33 % plus de chances du VIH contractant que le mâle moyenne.
Dans une étude qui a été réalisée en 2010 dans deux provinces du Nicaragua (Managua et Chinandega), on a constaté que 3 % des hommes qui ont des relations sexuelles sont porteuses du VIH, dont seulement un tiers a déclaré à l’aide de préservatifs.
Dans une autre étude de 2009, il est rappelé dans le rapport, a été identifié une incidence du virus en 3,5 % chez les personnes de ce groupe qui fréquentent le Centre public health in Lima.
Et un fait de béton : San Pedro Sula (Honduras), trouvé que 9 % des hommes âgés de 18-24 ans ont des relations sexuelles sont porteurs du virus sida.
Le problème de la transmission ne concernait pas seulement de ce groupe, comme l’a souligné dans le rapport, étant donné que beaucoup de ces hommes ont aussi des relations sexuelles avec des femmes de façon à la normale.
Les auteurs de cette étude par les Nations Unies ont dénoncé le manque de programmes nationaux qui sont axés sur la prévention et le traitement d’infection du VIH dans ce groupe social, étant le seul pays qui a passé plus de 5 % de son investissement total à des activités de prévention aux programmes de relations sexuelles entre hommes au Pérou.
Pérou fut également l’exception parmi les Andes, avec d’Amérique centrale a démontré manque de ressources pour résoudre et de lutter contre le problème, comme l’a dit en conférence de presse Gottfried Hirnschall, responsable de la lutte contre le VIH dans le who.
Hirnschall a fait remarquer que ces pays devront repenser leurs objectifs et les a incités à surmonter le stigmate qui continue de peser sur les relations homosexuelles avec des campagnes de lutte contre l’homophobie, qui ont déjà donné des résultats positifs au Mexique, au Brésil et Argentine.
La tête de l’OMS, a déclaré que la stigmatisation réside également avec les transsexuels, un collectif sur lequel il est peu des informations ou des informations fiables, l’incidence du VIH.
Le rapport cite une étude menée dans 13 villes d’Argentine, qui ont révélé des taux de prévalence du VIH « alarmante », et que 34 % des prostituées transgenres sont porteurs du virus. EFE