Appelé l’attention et la dénonciation du Forum de la profession médicale, la situation de la détérioration de la SNS.
Madrid, janvier 2012 – la situation actuelle de la crise économique de l’Espagne complique grandement la vie sociale et de santé. Avec peu de transparence, les diverses administrations imposeront des mesures des réductions selon les intérêts politiques et calendriers électoraux.
Comme les professionnels de la santé, nous ne pouvons pas nier ou ignorer la réalité mais aveugles coupures en santé condition grave réponse à des besoins de soins de santé des citoyens. La façon et le modèle de mise en œuvre des restrictions économiques imposées sont erronées et injuste parce que le budget identique que vous pouvez faire différemment avec des dommages mineurs.
Notre première critique est la classe politique n’ayant ne pas réussi pour anticiper et gérer une situation qui, bien qu’il s’insère dans une crise internationale, dans notre pays présente des caractères spécifiques.
Le système national de santé (SNS) accumule les dettes progressives. Fait référence à 20 000 millions d’euros mais la finale de la vérité n’est pas connue, ou tel qu’il est distribuée entre les différentes communautés autonomes ou non comme il est structurée par postes budgétaires.
Les médecins espagnols ont passé des années appelant à une politique de santé que, premièrement, pour s’assurer que des ressources suffisantes et s’assurer de sa qualité et la gestion optimale.
Nous avons un système de santé fragmenté, hétérogène, qui n’offre pas les mêmes avantages selon à l’ACS. concerné, avec une mauvaise gestion des ressources, un désintérêt de la classe de la directive et une bureaucratisation excessive.
Les médecins ont le droit de critiquer le manque de mesures à l’inefficacité économique dans le secteur public et de s’opposer à des formes inadéquates et réductions aveugles étant faites et c’est pourquoi nous demandons :
1. Un pacte d’État à la santé pour rendre la santé durable et financement d’un SNS a déjà prouvé pour être le meilleur possible à un prix raisonnable. Ce compact, à notre avis, doit respecter les lieux suivants :
à) un accord au niveau politique plus élevé de ne pas utiliser les services de santé à des fins partisanes, qui permet d’atteindre des budgets réels et finalistes, qui répondent à un portefeuille de service clairement définis et qui respecte les principes d’équité, d’universalité et de solidarité.
(b) une politique cohérente et coordonnée des ressources pour toutes les ACS.
(c) l’élaboration d’une politique des ressources humaines afin de permettre la planification future de médecins, que les conditions de fin aux différences de travail entre les communautés autonomes.
2 Afin d’accroître la productivité et l’efficacité du SNS au moyen d’un plan de réforme structurelle qui prend en compte la minimisation de la bureaucratie.
3. Le Conseil interterritoriale du SNS est de travailler avec les critères de cohésion et exécutoire.
4 Élaborer la LP, stop trouvés après huit ans d’être adoptée.
5. Pour modifier le modèle de rémunération des professionnels pour relier une grande partie de la même performance et la qualité.
6 Refuser la demande de la baisse des impôts qui provoquent une perte notable de qualité des soins des patients.
Nous appelons l’attention des médecins, qui vient de commencer la situation que nous dénonçons, menace être conséquences longs, complexes et imprévisibles.
Nous devons alerter pas de signes de détérioration progressive du SNS et de perte de qualité.
Par conséquent, nous demandons médecins et leurs organisations la responsabilité absolue, la disponibilité et la coordination de répondre avec les mesures de défense de la santé des citoyens.
Ils sont membres du Forum de la profession médicale : l’organisation médicale du Collège (OMC), la Confédération nationale des syndicats de médecins (MSEF), la Fédération des associations scientifiques – medical espagnol (FACME), le Conseil National de spécialités dans les sciences de la santé (CNECS), la Conférence nationale des doyens des facultés de médecine (CNDFM)et le Conseil d’état des étudiants de médecine (CEEM).