Marseille (France), 12 mars (EFE).-le ministre de l’agriculture, alimentation et environnement, Miguel Arias Cañete, espagnol est aujourd’hui promu en Espagne au cours de sa visite au Forum mondial de l’eau comme une référence dans la gestion de cet élément et a cherché à ouvrir l’entreprise présence ailleurs comme le Chili ou le Maroc.

Tout en reconnaissant qu’il existe encore « grand nombre d’infrastructures hydraulique » afin de développer, le ministre a indiqué aux médias que l’Espagne est « une référence dans la gestion des bassins hydrographiques, les technologies, les infrastructures et même dans la modernisation de l’irrigation ».

Lors de sa visite au pavillon d’Espagne, promu par son ministère et l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID), le propriétaire de l’agriculture a noté par exemple que c’est « la quatrième dans le monde dans l’infrastructure de stockage », après une Chine, les États-Unis et l’Inde.

Le ministre a critiqué le dessalement plan, « qui a échoué par manque d’une planification intelligente », mais plutôt a loué les technologies existantes et les peut comment ils « être exportés dans le monde entier ».

Sa présence lors du Forum, où participeront cet après-midi lors d’une conférence ministérielle avec ses homologues de quelque 80 pays, a également exploité pour tenir des rencontres distinctes avec des délégations ministérielles du Maroc et du Chili.

« Chase essaie d’ouvrir des portes sur l’extérieur, maximum à la fois quand faire les contraintes budgétaires que travaux publics devrait être ralenti tant au gouvernement niveau et dans les communautés autonomes », reconnaît la presse.

Cañete a souligné: « gestion peut ouvrir à des projets avec des pays avec lesquels nous avons de bonnes relations et de participer avec les connaissances que vous avez l’Espagne dans la gestion de cette ressource ».

Représentants des écologistes en action et en génie sans frontières, deux ONG espagnole, ont profité de leur présence pour rappeler sa demande de modification de la Loi de l’eau afin d’inclure la garantie du droit des citoyens à l’approvisionnement en eau potable en quantité appropriée et de qualité, et que la gestion de l’approvisionnement publique.

Le ministre, comme il l’a souligné dans les médias, Jaume Delclòs, génie sans frontières, est engagé à « étudier en détail les deux points », dont reconnaissance selon ces groupes servira d’exemple à d’autres pays et contribuera à améliorer la qualité de vie de la population dans son ensemble.

Le président du Comité du Forum mondial de l’eau, Benedito Braga, hier prononce un discours d’ouverture du Forum à Marseille (France). EFE