Spécialistes de l’hôpital Provincial de Castellón à participer au Congrès International de la pathologie double de Barcelone.
dans ce forum présente le bilan de son activité et les résultats de plusieurs recherches.
Castellón, 2011-octobre spécialistes de l’hôpital Consortium Provincial de Castellón présentées lors de la pathologie II International Congress of double qui se tiendra à Barcelone entre 5 et 8 octobre les résultats de plusieurs projets de recherche liés à la consommation de drogues et de troubles mentaux.
Délégation de Castellón aura une présence importante lors de cette réunion, parce qu’ils viendront proche de professionnels de deux douzaines de psychiatres, de psychologues et d’infirmières dans le domaine de la santé mentale du Consortium.
En outre, dans ce forum sera présenté le bilan de l’activité du programme sensibilisation de l’unité de pathologie Grave double du Consortium, dédiée à fournir un traitement complet aux patients qui ont un problème de santé mentale et que, par ailleurs, sont adonnés à une substance.
Pour le traitement de ces personnes, le Consortium a un programme d’hospitalisation et autre suivi ambulatoire, dit le Dr Gonzalo Haro, responsable de l’unité.
L’année dernière l’unité a traité un total de 85 patients, dont 76 % étaient des hommes, et l’âge moyen est de 38 ans.
Malades, parmi lesquelles prédominent qui sont un psychotique patron tels que la schizophrénie, suivie par les patients avec un trouble de la personnalité sévère est ”, dit le Dr Haro.
Avec ce qui a trait aux médicaments plus fréquemment consommées par ces patients, 62 pour cent des traités étaient dépendantes de l’alcool et 56 % de la cocaïne.
Année de revenu dans le programme de consultation externe, 53 pour cent des patients est resté dans la même en n’ont pas suffisamment améliorée d’être libéré. Le pourcentage restant a été commandé, comme ces patients a réussi à être abstinent drogue 12 mois et aussi stable de sa maladie mentale. Pour cette raison, après le congé étaient appelés autres ressources moins spécialisés en pathologie double l’hôpital de jour, unité des comportements addictifs ou unités de santé mentale.
Les résultats exposés montrent que le renvoi à l’une ou l’autre ressource dépend essentiellement de diagnostic psychiatrique et pas la substance qui crée une dépendance.