new YORK (Reuters santé) – en contraste avec les résultats
récentes, de nouvelles recherches n’a pas démontré que le
utilisation de l’aspirine ou l’ibuprofène diminue le risque que le
la prostate Agrand.
Ainsi, les résultats publiés dans le British Journal of medicine
International en contradiction avec un résultats de l’étude précédente
qui avait révélé que l’hyperplasie bénigne de la prostate
(hypertrophie de la prostate) n’était pas aussi commun chez les hommes prenant
anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) sur une base régulière.
Los AINS incluent des analgésiques comme l’aspirine, le
l’ibuprofène et le naproxène.
Serait la cause de l’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP) le
l’inflammation. Ce qui fait présumer que les AINS pourraient contrôler la
hypertrophie de la prostate, a expliqué l’auteur principal de le
nouvelle étude, Siobhan Sutcliffe.
Le national institutes of estimation de santé que les États
États-Unis transporté certaines consultations médicales de 4,5 millions de dollars
annuel associé à des symptômes de l’HBP.
En 2006, suivi de près de 2 500 hommes pour 12
années avaient montré qu’un quotidien utilisateurs d’AINS ont été
moins susceptibles que les autres de développer l’HBP. Mais que genre de
seulement, les études montrent qu’il existe une corrélation entre la
consommation d’AINS et le risque de développer un HBP, mais pas que la
drogues peuvent empêcher.
L’équipe de Sutcliffe a ensuite étudié 4.771 hommes
âgés de 55 à 74, qui participaient à une étude
sur la recherche sur le cancer. Au début de l’étude, soit les
a demandé si l’année précédente avait utilisé l’aspirine et
ibuprofène.
Dans les neuf dernières années, par qu’il fut diagnostiqué avec HBP à 31
cent. Mais il n’y n’avait aucune preuve d’une diminution du risque dans les
les utilisateurs réguliers d’AINS au début de l’étude.
Premiers stades
« Ce nouveau-né est dans les premiers stades de la recherche »,
il a dit Sutcliffe, de l’école de médecine de Washington
University à St. Louis.
Sutcliffe a noté qu’une limitation de l’étude était de couvrir
seulement l’utilisation des AINS au cours de l’année avant d’entrer dans le procès.
Peut être une consommation prolongée d’autres effets.
En outre, n’a pu expliquer pourquoi les résultats étaient tellement
autre que l’étude de 2006.
a raison, il croyait, peut être que les participants
utiliser les AINS en raison de divers problèmes. Mais que
information n’était pas disponible.
Et si de futures études prouvent que les AINS réduisent
le risque de développer un HBP, que se passerait-il?
D’une part, Sutcliffe a répondu, qui suggère que vous avez une faible
doses d’aspirine, que beaucoup d’adultes plus âgés utilise pour
protection de la santé de leur cœur, aurait un avantage supplémentaire.
Il est possible aussi que les AINS servira à traiter les symptômes
de l’HBP.
Source : BJU International, 19 mars 2012 en ligne