Londres, mar 21 (EFE).-l’exploitation forestière illégale dans l’Amazonie brésilienne pourrait conduire à la destruction du peuple autochtone plus menacé du monde, l’awás, a déclaré aujourd’hui l’organisation Survival International, défenseur des peuples autochtones partout dans le monde.

Aujourd’hui l’occasion de célébrer la Journée internationale de l’élimination de la Discrimination raciale, la survie signale que vous malgré les tentatives de l’Organisation des Nations Unies pour mettre fin au racisme, sont de plus en plus appel à régler « une situation réelle du génocide » en Amazonie brésilienne.

Les awás sont une petite tribu d’environ 355 membres qui vit dans l’est de l’Amazonie, dépend principalement de la jungle, et que beaucoup de temps a survécu à des massacres brutaux.

Selon les experts, cette tribu, qui est devenu un des derniers peuples autochtones nomades chasseurs-cueilleurs restant dans le monde, se sont menacées d’extinction, à moins qu’ils augmenter ses efforts afin de protéger leurs droits territoriaux qui sont violés par le bétail et les bûcherons illégaux.

Note de survie rappelle que vous alors que l’ONU veut à « la dignité et en droits » des êtres humains soient respectés partout dans le monde, aujourd’hui, bon nombre de collectivités autochtone est encore victimes de la haine ethnique.

Bruno Fragoso, du ministère des affaires autochtones de le brésilien gouvernement (FUNAI), a averti que cette nation est confronté à des « invasions croissantes » et a ajouté que « si des mesures d’urgence rapides ne sont pas prises, l’avenir qui vous attend est extinction ».

En outre, un juge brésilien qui a visité le territoire de l’awás considère que cette tribu est confronté à « un véritable génocide ».

Le directeur de Survival International, Stephen Corry, a considéré que les awás sont « le peuple autochtone plus menacé sur la planète » et a averti que si leurs droits ne sont pas protégés, « il sera à n’existent que dans les pages des livres d’histoire ».

« l’appel de l’ONU pour mettre fin à la discrimination raciale est un pas de plus pour changer les attitudes et les aider à maintenir la forêt de l’awás intacte, a déclaré.

La forêt de l’awás est actuellement confrontée à un des taux plus élevés de déforestation de toutes les zones indigènes de l’Amazonie.

Experts s’intéresse que particulièrement à l’impact sur l’awás pas contacté ces invasions territoriale particulièrement vulnérables à la maladie. EFE