Montevideo, 19 mar ( EFE).-une seringue trouvée près d’un patient mort il y a une semaine a été clé pour préciser le cas de deux uruguayens d’infirmières qui ont été inculpés dimanche pour le meurtre de 16 patients placé dans deux centres de santé de Montevideo, indiqué la police sources aujourd’hui.

Lemos de Gladys, une femme diabétique âgés de 74, admis à l’hôpital de Maciel, dépendant de l’État, est décédé subitement le 12 mars lundi peu après avoir reçu la décharge médicale.

Femmes fut interné à dix jours en raison de divers problèmes physiques, mais les médecins ont réussi à stabiliser. Cependant, après avoir reçu le haut, il descompensó et peu de temps après la mort.

La police uruguayenne, enquêtant sur des décès douteuses à l’hôpital, de janvier a trouvé une seringue à côté des femmes avec des restes de la lidocaïne qui ne lui avait été prescrit par les médecins et a été par la suite déterminé que la seringue provenait d’un autre centre de santé privés.

Enquêtes ont abouti à la responsabilité d’une infirmière, 39 ans, qui a travaillé à l’hôpital et également la première Association espagnole de mutual aid, où il a volé la seringue.

La police a également arrêtée pour la même cause une autre infirmière à 46 ans, qui a également travaillé dans le centre de santé privés, afin que le juge de la Cour pénale Rolando Vomero inculpés eux et a ordonné le revenu dans la prison de tous deux accusés de « homicide particulièrement qualifié ».

« Pour photographies (accusé) reconnaissaient cinq et un autre onze victimes et enquêtes seront poursuivra », ledit juge après une journée d’interrogatoire qui a duré onze heures.

Une des infirmières « appliquée morphine » aux victimes et aux autres « air grâce à une centrale » quel » était causant la mort en quelques minutes,”explique Giordano.

Le juge dit que la recherche « ne tiges pas de connexion » entre les cas et a ajouté qu’ils étaient des « situations indépendantes ».

Infirmières défenseurs réclamés que ceux aujourd’hui emprisonnés a agi « piété » et de « modérer la douleur de ses patients », bien que le juge Giordano a dit que les victimes « ne sont pas tous étaient malades en phase terminale ». EFE