Beijing, 9 sep (EFE).-la société pharmaceutique américaine Pfizer mettra au point, fabriquer et distribuer des vaccins pour les animaux en Chine, où la demande pour un approvisionnement de produits laitiers, de boeuf et de porc est grandissant, a déclaré à l’agence Xinhua.

Grâce à la création d’une coentreprise entre sa filiale, Pfizer santé animale et la société chinoise Jilin Guoyuan de la santé animale, la marque américaine va renforcer sa présence en Chine grâce à élargir son marché au bétail.

Cas habituels d’empoisonnement ou de décès en mangeant de la viande et les produits laitiers produits contaminés et la perte résultante de la confiance des consommateurs a conduit à des organisations qui représentent ces derniers de demander à un approvisionnement alimentaire plus sécuritaire.

Entre autres, scandales récemment comme le lait contaminé avec mélamine pour augmenter leurs protéines, porc avec le nitrite de préserver sa couleur, fraises parfumées avec des produits chimiques ou poulets nourries avec des peintures et plastique pour accroître son poids ont déclenché une alarme parmi les consommateurs protégé de référence chinois.

Dans le cas de mélamine, six bébés morts en 2008 et autres 300 000 sont atteints de diverses maladies rénales, alors qu’un sirop frelaté avec frein fluide et exportées au Panama tué en 2007 à 142 personnes.

Ces scandales ont incité les autorités à modifier la Loi cette année à punir les responsables d’empoisonnement intentionnel avec la peine de mort et a fait des tentatives de régler plus efficacement l’approvisionnement et la distribution de nourriture

Pfizer et Guoyuan de la province du Jilin ont chiffré le marché chinois dans ce domaine en 800 millions de dollars par année et bien qu’ils n’ont pas révélé les clés de l’accord, ont apporté avant que son premier objectif sera de développer des vaccins pour les porcs, que la Chine est le plus grand producteur de boeuf et de porc.

Malgré l’annonce, l’accord est toujours soumis à l’approbation par les autorités compétentes, ce qui donnera un verdict dans les jours qui viennent d’approuver ou non la création de la coentreprise. EFE