Laura Barros
Caracas, 16 sep (EFE).-l’arepa, le plat typique des Vénézuéliens, est devenue un nouvel élément dans le menu de récents différends entre le gouvernement du président Hugo Chávez et la société Polar, le plus important producteur de boissons et la nourriture dans les pays sud-américains.
L’annonce de l’Office de la propriété intellectuelle dans le pays que Polar vendu le brevet de la farine populaire “Pan” à une entreprise canadienne avec des insinuations sur son manque de venezolanidad et les accusations de la compagnie au gouvernement par les difficultés du secteur attiser la controverse.
Le directeur du service autonome de la propriété intellectuelle (Sapi), José Villalba, a dévoilé le Canadian Deutsche Tran syndic Inc, a acheté le brevet de la farine, les quelques plus traditionnelles et les plus importants utilisés pour faire arepas.
« Sont des entreprises qui ont une adresse de venezolanidad à toute épreuve et qu’il devrait y avoir cohérence entre ce discours et sa pratique en entreprise ». « Mais, comme nous l’avons vu, la capitale n’a aucune éthique ou nationalité, » dit Villalba sur le plus grand conglomérat dans le pays, qui emploie 9 000 personnes et emploie 2 000 fournisseurs.
Selon l’opération officielle permet à que la société juridiquement obtenir des devises étrangères à payer pour l’utilisation de la marque, qui, a-t-il dit, ont fait depuis 2004 autres entreprises qui dont les marques tradition.
Au Venezuela est en vigueur depuis 2003 un échange contrôler qui restreint et réglemente l’accès aux devises, et qui maintient le prix du dollar dans l’équivalent de 4,30 bolivars, citation qui double le parallèle illégal de marché.
Polaires, pour sa part, a déclaré dans un communiqué que cette farine « a toujours été, est et restera un produit vénézuélien » et est produite chez les plantes, les villes de Turmero, Aragua et Chivacoa, Yaracuy (au Centre).
Aucune référence à la transaction avec le canadien et, d’autre part, a averti que ces « surprenant déclarations » cherchent à créer de la confusion dans les millions de consommateurs et à « détourner l’attention des problèmes que traverse actuellement des producteurs de maïs blanc afin d’assurer le national brut ».
Polaire fait allusion à « la situation difficile qui affectent la farine précuite de l’industrie de maïs », qui, dit-il, « qui passe à perte due à l’ajustement inadéquate du prix du produit récemment autorisé par le pouvoir exécutif ».
Le document explique que le maïs blanc augmente ses prix 30,43 % – sans préciser la période à laquelle il fait référence-, tandis que l’ajustement approuvé par les autorités à la farine de maïs est de 20,47 %
« L’arriéré dans le prix du produit n’est pas reconnu, sont empêchés de l’agrobusiness pour compter avec un rendement équitable et met gravement en péril la viabilité du secteur, » a déclaré polaires.
Les désaccords entre le gouvernement et le Polar
viennent il y a longtemps. En novembre 2010, Chávez accuse le propriétaire de cette société, Lorenzo Mendoza, d’essayer de lui retirer de puissance et a affirmé qu’il n’était pas prévu d’exproprier dans le court axé
« Non polaire grève va pour renverser Chavez ». Ce que “une grève polaire peut mentir est Mendoza », dit ensuite que le souverain sur son dimanche du programme « Aló Presidente », pour répondre à un défi allégué de Mendoza.
“Je vais vous dire une chose, Mendoza : Je n’ai pas actuellement aucun plan d’exproprier polaires; » « Je ne suis pas intéressé, à l’heure actuelle, je ne sais si plus tard », a déclaré m. Chavez, qui, en juin dernier, il a réclamé polaires pourquoi leurs camions vendus soi-disant bière « quatre coins » du pays.
Polémiques comprennent, en outre, l’ordonnance du gouvernement en février 2009 pour parler de l’arroceras, y compris les polaires, ainsi qu’expropriation, en avril 2010, certaines granges et les terres du conglomérat en janvier dernier. EFE