association pour l’étude de la biologie de la reproduction (ASEBIR) met en évidence l’importance de la présentation au Congrès des députés une proposition non de loi, soutenir la création d’une spécialité de l’embryologie clinique
de l’opposition des groupes parlementaires a présenté une proposition non de loi mettant l’accent sur la valeur de la reproduction humaine assistée, qu’ajouter actuellement 4 % des naissances en Espagne
Espagne, juillet 2012.- Association pour l’étude de la biologie de la reproduction (ASEBIR) prend du temps, exigeant la création d’une spécialité conjointe de la génétique et embryologie les domaines spécifiques de formation qui permet d’optimiser les soins des patients et d’améliorer la situationsur les professionnels. Dans ce contexte, ASEBIR tient à souligner l’importance de la proposition non de loi soumis il y a quelques jours dans la Chambre des députés par tous les partis d’opposition, qui a exhorté le gouvernement à créer la spécialité de l’embryologie clinique et clinique de génétique, au sein de la formation de base des laboratoires cliniques.
Ainsi, la majorité des groupes parlementaires accroît la valeur d’une discipline qui, actuellement, ajoute 4 % des naissances qui se produisent, qui traduit en un nombre absolu de 16 000 enfants naissent chaque année, soit 84 % produit de la fécondation In Vitro et les autres 16 % en Espagne, de l’insémination artificielle.
L’importance croissante de ces données rend nécessaire la création d’équipes multidisciplinaires, compte tenu de la complexité du diagnostic et du traitement de la stérilité. Certains ordinateurs comprennent les embryologistes, responsables agissant sur les gamètes et les pré-embryons cliniquement et fournissent de l’information sur l’utilité clinique de procédures stériles les patients ou le traitement. Malgré l’importance de leur travail, ces professionnels sont les seuls qui n’ont pas une formation universitaire spécialisée et formelle.
Pour cette raison, les groupes parlementaires d’opposition défendaient la création d’une spécialité biotechnologie, se joindre à la demande soulevée à maintes reprises par ASEBIR, avec les objectifs de défendre le travail de quelques professionnels qui sont un élément essentiel dans la prévention des maladies liées à la procréationet de s’assurer de la qualité et la sécurité dans l’aide et les soins aux patients concernés.
L’existence d’une spécialité officielle permettrait d’éviter des situations de risque pour les patients et les administrations, ainsi que pour les professionnels eux-mêmes, puisqu’elle empêcherait toute personne ayant peu de connaissances en embryologie clinique pouvait travailler dans le laboratoire d’une unité de reproduction assistée.