Tous, sauf le dernier critiquent les réductions de la Generalitat
Barcelone, 15 (EUROPA PRESS)
Les cinq candidats principaux des élections générales Catalan ont montré leur respect de la grève des médecins pour les mardi et mercredi par américain de Catalunya (SMC) contre les compressions budgétaires du gouvernement Baléares dans le secteur, mais ont réagi à elle avec des nuances.
Josep Antoni Duran (CiU) ne croit pas que la grève affectera la campagne-« maintenant ils auraient que certains pour influer sur le résultat de l’élection, mais il ne doivent pas”- et lundi déjà contesté le ministre Carme Chacon pour forcer une extraordinaire du Conseil des ministres que le gouvernement à payer une dette de Catalunya, parce que ne devrait donc ne pas coupé en santé.
Chacón, candidat de la CFP, a attribué la grève à la « baisse sauvage du Conseil de gouvernement CiU, mauvaise gestion du gouvernement Baléares et son incapacité à négocier », a souligné les efforts du personnel dans le secteur et a accusé le droit espagnol et Catalan coupé en santé à la crise comme excuse parce qu’ils considèrent cette région comme une entreprise du secteur privé.
Alfred Bosch (CER), toujours critique de coupes CiU en santé et en éducation, pas opposé à la grève, mais s’est plaint que les médecins ont organisé il ne cherche pas son enrôlement de tous les travailleurs de la santé publique: « Pour le reste des travailleurs des santé, il peut être vu comme quelque chose d’entreprise. » « Cela ferait plus de sens et de force si tous les travailleurs qu’ils se sont réunis ».
Joan Coscubiela (ICV-EUiA) a défendu les efforts de la qualité des soins à la baisse, à qui rattache la protestation et il a demandé à CiU au gouvernement de « fin une fois pour toutes les politiques injustes, inutiles et maladroites des réductions de droits ». « Si vous avez quelque chose de couper, sont des privilèges ».
La Fernandez de Jorge populaire dit que le gouvernement a eu tort quand il vient à prioriser les paramètres de votre budget et a défendu le droit de grève « s’ils croient qu’il a atteint une situation extrême », mais a demandé à concilier ce droit avec les services minimums donc à ne pas prendre le risque de la santé de la population.