Beijing, 16 fév (EFE).-l’organisation environnementale PETA (people for le traitement éthique des animaux) a publié aujourd’hui une liste de « pires habillées célébrités » de la Chine, qui contient cinq des plus célèbres actrices du pays, y compris le Gong Li et Zhang Ziyi, utilisent souvent des peaux naturelles.

La renommée de cinq actrices « colorées de bloody red red carpet », a déclaré l’organisation, la Chine a mené de nombreuses campagnes contre l’utilisation de la fourrure et d’autres abus contre les animaux.

De Zhang Ziyi, connu pour des films tels que « Mémoires d’une Geisha » ou « Tigre et Dragon, » PETA assure « n’avoir aucune compassion pour les animaux tués », alors qu’un autre grande Muse du réalisateur Zhang Yimou, Gong Li, blagues en soulignant que « plutôt que d’abandonner leur citoyenneté devrait quitter les peaux “(en référence au fait que Gong a pris la nationalité singapourienne).

Pour les autres trois actrices, muses du cinéma de Hong Kong, l’Association déclare les « faillite morale » ou « cruel », parmi les autres critiques qui apparaissent dans la déclaration de l’organisation.

Le vice-président de PETA, Jason Baker, a noté de soumettre cette liste – tout d’abord effectuée en Chine et qui promet d’être régulier-« rien glamour » n’en portaient des peaux d’animaux.

Selon l’organisation écologiste connue aussi pour les campagnes dans lesquelles des actrices ou modèles posent nue pour demander la non utilisation de fourrure, les animaux utilisés dans le secteur textile sont maltraités pour trop longtemps avant d’être abattus, à vivre dans des cages minuscules.

En Chine, le plus grand exportateur de fourrure dans le monde, bon nombre des animaux dans les fermes de fourrure sont despellejados vivante, « y compris des millions de chats et de chiens », dénonce l’ONG américaine.

Photographie archive datée du 24 novembre 2010, un végétarien militant de l’organisation PETA (people pour le traitement éthique des animaux) avec un masque de filtres manifestes contre la consommation de viande à Hong Kong (Chine). EFE/fichier