Madrid, 30 mars ( EFE).-le gouvernement a décidé de dénoncer à la Cour constitutionnelle de Junta de Andalucía par vente aux enchères publique pour la sélection des médicaments à distribuer dans les pharmacies de la communauté, parce qu’elle croit qu’elle envahit la législation d’État et réduit l’ offre de prestations.
Ainsi, le Conseil des ministres a décidé de présenter un conflit positif de compétence pour la résolution du service santé andalouse du 25 janvier 2012, qui appelle la sélection des médicaments, étant entendu qu’il fixe un nouveau régime juridique non prévu dans la Loi fondamentale de l’état avant la constitutionnelle.
L’approche de ce conflit entraîne la suspension de la règle andalouse.
Le gouvernement croit que le nouveau mécanisme de fixation des prix réduit la plage établie des avantages garantis en Andalousie sur la garantie par l’inclusion dans le portefeuille de services communs du service national de santé.
Est également d’avis que le Conseil réglemente la prescription des médicaments sans pouvoirs, pour devenir l’État qui a une compétence exclusive dans le domaine de la législation pharmaceutique.
Le gouvernement souligne que sa décision est prise en charge par un avis favorable du Conseil d’État, qui remet en question la pertinence de l’ordre de la compétence de la résolution régionale.
La Junta de Andalucía fait la première de ces ventes aux enchères la dernière mars 19.
a été attribué par enchères publiques certains génériques des médicaments pour les rendre ceux qui ont à offrir quand le patient arrive avec une recette qui inclut seulement les principes actifs et donc d’économiser sur la facture pharmaceutique.
Ce mécanisme, insiste l’exécutif, clairement enfreint les compétences de l’État et modifie le portefeuille de base des services mis en place par l’État, à l’exclusion des prestations peuvent être consultées en appliquant les règles de base.