MADRID, 2 (EUROPA PRESS)

Le ministère de la santé, des affaires sociales et égalité a envoyé une demande pour le gouvernement de La Rioja qui écrasera les instructions données par le ministère de la santé et des services sociaux de La Rioja à l’intérieur de Logroño, là où il est appelé à fournir spécialisée, santé non urgents soins de santé aux patients de nouveaux de villes voisines de la province alavesa.

« Nous comprenons que l’adoption de cette mesure par la communauté autonome de La Rioja est la rupture unilatérale du Pacte tacite de convenu entre les deux communautés touchées et, par conséquent, une violation du principe de loyauté institutionnel qui devrait régir tous les actes et les relations entre les administrations publiques, » explique santé.

Donc demandé que soins de santé refusés aux citoyens, restauration « elle implique l’effondrement du droit d’accès aux prestations de santé en termes d’égalité effective » qui s’applique à tous les citoyens. Et n’oubliez pas que l’État a compétence exclusive sur les bases et la coordination générale de la santé, comme c’est évident dans la Constitution espagnole.

Explique également, dans cette exigence précédente a été tenu compte du fait que certaines populations voisines de la province d’Alava, tels que Laguardia, Labastida ou Oyón, ont été traditionnellement assisté dans les établissements de santé publier de Logroño pour les difficultés géographiques posé pour cet accès de la population vers les centres de santé à Vitoria.

Enfin, dans le cadre d’un accord entre les administrations publiques, explique que La Rioja et pays Basque peuvent demander la modification de l’accord ou de sa cessation d’emploi, mais cela doit être fait dans un délai déterminé et dans le cas de ne pas parvenir à un consensus, leur rappelle qu’il y a des règles et principes qui régissent son développement.

« Remplaçant le Pacte tacit entre les deux communautés par une clause expresse avec la partie de la rémunération éventuelle du pays Basque exige un minimum de temps d’étude, » se rappeler, au moment où avertit que « la coopération et la coordination des administrations des santé publique est absolument essentielle pour assurer des citoyens le droit à la protection de la santé, avec l’objectif d’assurer l’équité et la qualité du système de santé national ».