Logroño, 17 nov (EFE).-le maire de Oyón (Pays Basque), Rubén Garrido (PP), a déclaré aujourd’hui que « devraient plutôt plus politiques et personnelles » Président La Rioja, Pedro Sanz (PP), qui a été d’avis que « a commis une erreur » dans sa décision de ne pas fournir des soins de santé à ses voisins et le reste de la Rioja Alavesa.
Ruben Garrido a fait ces déclarations à l’endroit où il est resté sur la grève de la faim depuis hier, avant de l’immeuble où le président régional a déclaré, en conférence de presse, qui désirent recevoir des soins primaires et spécialisés dans La Rioja, qui est la compétition de chaque communauté, « auront à poser et à s’entendre sur », « Dans le même temps, il y aura rien ».
“Renforce sa position et mon semble, d’une certaine façon, une position regrettable », a été considéré comme le maire aux journalistes qui ont été informés, ce matin, les déclarations du président Rioja.
Le maire du PP ne voulait pas répondre à la question de savoir si « demanderont Amparo » à Mariano Rajoy, chef du parti dans lequel il et Pedro Sanz militent, et il a répondu qu’il s’attendait « santé mentale » et « sens commun par toutes les parties ». « Mais tous les jours que cette étendues rougir à quelqu’un,”a été ajoutée.
Ruben Garrido a il veut maintenant à contact téléphonique – pour continuer sa grève de la faim contre le gouvernement de la Rioja – avec l’exécutif Basque, pour faire bouger « onglet » dans ce conflit, et le ministère de la santé a demandé de prendre des mesures et de « mettre le Bell le chat ».
Conseiller municipal de ville qui a été continuellement accompagné depuis hier, quand il a commencé son acte de protestation par les résidents de leur municipalité, a exprimé l’avis que le gouvernement central doit recevoir des « mesures fortes » dans cette situation qui touche les résidents de proximité Alava La Rioja.
Garrido a considéré que des attitudes différentes mises en question « Quels sont les politiciens », bien qu’il ne voulait pas spécifier qui cité.
S’ajoute Oui qu’il faut se demander si les politiciens qui sont « sont qui devrait être ».