Paris, 30 mars ( EFE).-le mexicain Susana López Charretón, distingué par prix l ' L’OREAL-UNESCO pour les femmes et la science, a aujourd’hui souligné son intention de profiter de cette visibilité d’exhorter les autorités de son pays “plus de soutien” à la recherche.
« Exigent beaucoup plus d’investissements », a souligné dans un téléphone interview avec Efe López Charretón, décerné pour son travail sur le rotavirus, qui a effectué à l’Institut de biotechnologie de l’Université autonome du Mexique (UNAM).
Lopez Charretón a fait observer que « le prix est beaucoup échantillon de fierté » et da « grande visibilité », qui propose d’utiliser pour « attirer l’attention » du gouvernement sur la situation et les besoins des chercheurs au Mexique.
Espérait aussi que la publicité fait son sert de travail faire « conscient » du problème de la rotavirus qui touche les enfants sous l’âge de deux ans dans le monde entier et entraîne quelques 360 000 décès, principalement dans les pays pauvres où il n’y a plus de difficulté à utiliser les services de santé.
Est avant tout identifier cette maladie dont les symptômes sont « une image très sévère avec vomissements et diarrhée » qui « ce qui doit être fait est de prendre l’enfant chez le médecin » et surtout « aucun des traitements maison », a souligné.
L’essentiel est de traiter l’enfant dans le temps parce que sinon cette rotavirus qui se trouve dans les cellules de l’intestin peut causer la mort.
a rappelé qu’il existe un vaccin qui permet de réduire les décès, dont au Mexique étaient environ 5 000 par an pendant cinq ans.
La mexicaine chercheur dit son attention travaux sur ce qui rend le virus dans les cellules où se réplique, et dernièrement dans comment ces agissent pour défendre.
Elle est l’une des cinq femmes remises hier dans l’édition décimo-cuarta des prix l ' L’OREAL-UNESCO destiné à stimuler le travail scientifique des femmes.
Attribution, a souligné que l’enquête de Lopez Charretón » a donné naissance aux magnifiques instruments de diagnostic et de traitement ».
Fichier de l’image des mères nicaraguayen à occuper leurs enfants touchés par le rotavirus dans une épidémie qui a touché des centaines de mineurs dans certains pays d’Amérique centrale en 2005. EFE/fichier