Montevideo, 9 avr (EFE).-les autorités du ministère de la santé publique (MSP) de l’Uruguay a annoncé aujourd’hui la présentation à la justice pour six nouvelles plaintes sur possibles crimes commis par les deux infirmières qui a tué au moins 15 personnes tout en travaillant dans deux hôpitaux dans les unités de soins intensifs Montevideo.
Dans une déclaration, les autorités ont indiqué que ces six présumés cas découlent de l’étude de 257 revendications que le ministère avait reçu depuis l’éclosion de l’affaire et des cas de morts suspectes dans les unités où les infirmières travaillaient.
Justice devra maintenant déterminer si elle accepte ces allégations, et si elle commence ses propres recherches sur les.
Comme indiqué par le MSP, l’approche de l’analyse des plaintes était d’analyser la première ceux qui a eu lieu dans le Centre de Neuro traitement chirurgical de l’hôpital de l’unité coronarienne soins de l’hôpital de Maciel, où les meurtres, il a avoué aux infirmières s’est produits et Association espagnole.
De tous ces, considéré ces dont « causes de décès n’ont pas été clair ou suspectes selon vos antécédents médicaux, l’histoire de la plaignante, famille et fournie la documentation ».
Troisième, a souligné les faits avec un « semblant criminel » attribuables aux travailleurs des défendeurs.
L’avocat de la MSP a été chargé de l’examen cas par cas et sélectionnez qui, en fin de compte, sera entre les mains de la justice.
Depuis le 19 mars tous les Uruguay a été choqué quand il a été révélé que les infirmières Ariel Acevedo, 46 et Marcelo Pereira, 39 ans, ont été traités au moins 15 cas de « homicide particulièrement aggravé » commis chez les patients sous leur garde.
Le premier air injecté dans les veines de leurs patients et la seconde a fourni des médicaments par voie intraveineuse puissants comme la morphine, fenergan ou dormicum.
Les deux justifié ces décès pour des « raisons humanitaires », mais le juge qui eux, Rolando Vomero, des téléphones portables mis au rebut des deux inculpés ont été « pieux ».
Le juge mis en accusation à l’infirmière Andrea Acosta « complicité ».
Ces événements a déclenché une vague des allégations et des doutes sur les pratiques des infirmières qui arrivent par centaines les autorités de santé, comme la police, et qui a semé la méfiance à l’égard de la santé uruguayenne ensemble.
En fait, le passé mars 28, un médecin et une infirmière dans un hôpital à l’intérieur du pays ont été arrêtés pour la mort de « suspecte » d’un patient âgé de 99 ans, alors que dans ce cas la Justice a rejeté l’emprisonnement de l’accusé.