rédaction international, 2 mar ( EFE).- l’alarme générée par l’accident à la nucléaire complexe japonais de Fukushima l’année dernière a conduit certains pays à revoir leurs plans nucléaires ou de renforcer les mesures de sécurité, mais il n’a pas ralenti l’expansion de cette source d’énergie.

La catastrophe a donné un revirement au nucléaire et la politique énergétique de l’ Allemagne, où le gouvernement de la chancelière Angela Merkel, initialement partisan de prolonger la vie des 17 réacteurs nucléaires jusqu’en 2030, a opté pour la promotion des énergies renouvelables et de l’abandon permanent de l’énergie nucléaire pour 2022.

Fukushima ressuscité dans l’Union européenne (UE) le souvenir amer de Tchernobyl (Ukraine) 25 ans plus tôt et le conduit à Bruxelles pour lancer les tests de résistance afin d’évaluer la sécurité de l’UE, huit d’entre eux en Espagne, dont les résultats finaux seront annoncés en juin prochain des 143 réacteurs.

De l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire des experts de France considèrent qu’un accident comme le tremblement de terre et subséquent tsunami du 11 mars dans la centrale japonaise aurait un plus grand impact dans la population, en Europe, en ce qui concerne Fukushima beaucoup la pollution a dirigé l’océan.

, Mais à moins qu’un plus grand accent sur la sécurité, Fukushima pas signifie des changements majeurs dans les plans nucléaires dans une dépression économique, l’Europe n’est pas disposé à augmenter leur dépendance à l’importation d’hydrocarbures.

Chiffres sont sans ambages : au Japon, où l’énergie nucléaire couvrant 30 % de la demande énergétique avant la catastrophe, a enregistré son déficit commercial plus important en janvier 2012 dans le passé 33 ans à augmenter sa facture d’énergie pour rester seulement deux de ses 54 réacteurs fonctionnant.

Selon les dernières projections par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), la capacité mondiale du nucléaire va passer de l’actuels 375 gigawatts à 501 gigawatts d’ici 2030, les estimations de 8 pour cent inférieure à celles faites avant la catastrophe de Fukushima

Il y a actuellement 63 réacteurs en construction dans quinze pays et sont prévues des autres 156, surtout dans les pays en développement.

Des États-Unis a pris fin en février dernier pour un nucléaire plus de 30 ans moratoire imposé après l’accident du réacteur de Three Mile Island en 1979, d’approuver la construction de deux nouveaux réacteurs en Géorgie pour traiter avec l’augmentation de la demande électrique et réduire la dépendance aux combustibles fossiles.

Pour sa part, la Russie s’appuie maintenant neuf réacteurs nucléaires et prévoit de doubler la production de l’énergie atomique dans les prochaines années pour atteindre 30 pour cent du total.

N’ont pas cessé plans d’expansion nucléaire en Chine, le pays dans le monde qui plus de réacteurs en construction a (vingt, contre les 13 déjà), et que par le plan d’ici 2030 pour atteindre les centaine réacteurs, semblables à celle de maintenant possède nous.

, De la préfecture de Fukushima, l’accident a provoqué la suspension temporaire de l’approbation de nouveaux projets et la mise en œuvre d’une plus grande sécurité et mesures de coopération avec les pays voisins, ainsi que les progrès dans la recherche de la « quatrième génération », apparemment plus sûrs réacteurs et une plus jeune génération de déchets toxiques.

En chiffres, cela provoquera le pays, qui avait une capacité de 10,9 gigawatts d’électricité nucléaire en 2010, devrait atteindre 70 gigawatts d’ici 2020, lorsqu’avant l’accident estime atteindre pour cette année 120.

En Amérique latine, seul au Venezuela, un pays riche en pétrole, a annoncé un gel sur les plans préliminaires du programme électronucléaire.

à la fin de septembre dernier, l’Argentine a lancé les opérations de la centrale nucléaire de Atucha II, dans la banlieue de Buenos Aires, le troisième construit dans le pays et les voisin Atucha I, le premier installé en Amérique latine.

Et au Brésil, le gouvernement a déclaré que la politique nucléaire ne serait pas modifiée en l’absence de risque de tremblements de terre ou des tsunamis et parce que deux des plantes (Angra I et II) ont été prévues pour résister aux tremblements de terre jusqu’à 6,5 degrés sur l’échelle de Richter et des vagues jusqu’à sept mètres de hauteur.

Accident de Fukushima n’a pas varié à projet de l’ascenseur du gouvernement indien une centrale nucléaire avec six réacteurs à Jaitapur, une zone de forte activité sismique dans l’ouest du pays. EFE