Des Nations Unies, 15 sep (EFE).-l’Organisation des Nations Unies veut déclarer la guerre sur les maladies non transmissibles telles que le cancer, le diabète ou l’hypertension, et pour ce faire, la semaine prochaine à New York a tenu une réunion de haut niveau qui devrait quitter un nouvel ordre du jour pour s’attaquer à l’impact de ces maux sur la population.

« Sera une étape importante pour la santé publique », a déclaré à la presse, l’expert de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les maladies non transmissibles Ala Alwan, qui a assuré que la prochaine 19 et 20 septembre il servira de base à l’ONU d’une nouvelle stratégie globale contre ces maladies.

Coïncidant avec la semaine qui commence la discussion publique sur la 66 session de l’Assemblée générale des Nations Unies, l’Agence réunira 34 chefs d’État et de gouvernement, ainsi que 50 ministres et beaucoup de spécialistes dans le domaine de concevoir un plan pour les prochaines années.

Alwan souligne l’importance de l’initiative, ces maladies « principales causes de décès dans le monde » et sont “les problèmes qui se développent à un rythme rapide, qui est la raison pour laquelle l’ONU et la communauté internationale doivent agir rapidement pour mettre en œuvre la « feuille de route » pour réduire son impact.

L’expert de la qui a dit que mortalité de ces maladies dans une augmentation de 17 % au cours des dix prochaines années et a souligné que la plus grande augmentation sera détectée dans les populations des pays en développement, principalement en Afrique, Moyen-Orient et Asie du sud-est.

Lors de la réunion de la semaine prochaine, ils essaieront principalement des mesures contre le cancer, le diabète, maladies cardiaques et pulmonaires chroniques.

Alwan fait remarquer que, en 2008, les maladies non transmissibles a causé la mort de 36 millions de personnes, dont plus de neuf millions s’est produite dans les gens âgés de moins de 60 et 90 pour cent dans les pays à revenus faibles ou moyens.

L’expert espère que la réunion servira à rendre les gouvernements à prendre des engagements relatifs à la surveillance et de suivi des maladies, la réduction des facteurs de risque, tels que la consommation de tabac et d’alcool, de régimes alimentaires malsains et de manque d’exercice. EFE