Sydney (Australie), 5 sep (EFE).-le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a promis aujourd’hui de montrer, de forums internationaux, la nécessité d’aider les habitants de l’ensemble de l’île du Pacifique États menacés par la disparition sous l’eau en raison de changements climatiques.
“Garder la pression d’être accompli des progrès jusqu’à ce que nous obtenons des résultats concrets », il a dit à interdire le président des Kiribati, Anote Tong, conformément à l’édition numérique du journal « Salomon Times ».
Le Secrétaire général a également souligné que « pour l’île du Pacifique pays sont à la ligne de front du changement climatique » et « sont ceux qui souffrent de l’impact », car « ils sont ceux qui ont leur existence menacée ».
« La communauté internationale doit faire quelque chose maintenant », a ajouté Ban.
Pour sa part, le président de Kiribati, un pays qui, selon les estimations des experts peuvent disparaître sous l’océan de ce siècle, était sceptique devant une réponse positive aux préoccupations du SID dans la région.
« C’est triste à dire, mais peut-être corriger toute percée dans les négociations à court terme est peu probable, que » dit Tong et pas le Secrétaire général des Nations Unies, de l’Agence australienne du PAA qui principe il attribue ces mots.
Ban a assuré qu’il sera la voix du peuple de Kiribati, les îles Salomon et les autres pays du Pacifique dans les négociations sur le climat de changement qui se tiendra à la fin de cette année à Durban, en Afrique du Sud et autres événements international.
« Nous devons aider eux. » « J’espère que les États membres à réaliser des progrès rapides à Durban décembre, » dit le chef de l’Organisation des Nations Unies dans un autre discours lors de sa tournée du Pacifique, conformément à l’Australian radio ABC.
« Mais le premier et le plus important est que nous faisons quelque chose, même si elle prend un certain temps, obtenir l’accord mondial. » « Les gouvernements de chacune des Nations doivent agir (…) sans nécessairement attendre atteindre le Pacte mondial », a ajouté Ban.
Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies samedi atteint l’Australie, le jour suivant, qu’il s’installe aux îles Salomon et aujourd’hui arrivé à Kiribati, où demain de voyage à la ville de Auckland de Nouvelle-Zélande inaugurera le Forum des îles du Pacifique, impliquant des 16 Nations.
Kiribati, un archipel composé de 33 atolls et une île volcanique est peuplé d’environ 105 000 personnes en moins d’un demi siècle, si a rencontré les prévisions des scientifiques, devront abandonner leurs terres à la suite de la hausse du niveau de l’eau.
Autres nations du Pacifique, tels que Salomón, Fidji, Nauru, Tonga et Vanuatu, perdront tout ou partie de son territoire, lorsque le niveau de la mer augmente en raison de changements climatiques.
Le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, assiste à une conférence de presse conjointe avec le premier ministre australien, Julia Gillard, le 3 septembre 2011, à Canberra (Australie). Interdiction d’interdiction se battront pour les pays du Pacifique menacés par le changement climatique. EFE