Bangkok, 1 mar ( EFE).- un groupe d’ organisations Non gouvernementales, a appelé aujourd’hui les autorités de la Birmanie (Myanmar), de suspendre la construction d’un pipeline de gaz et d’un pipeline en Chine jusqu’à ce que c’est résolu son impact négatif sur les écosystèmes et les collectivités locales.

« Demandent au gouvernement afin qu’il reporter ce projet afin de protéger les droits des communautés et de prévenir les impacts au sein d’un plan de développement durable », a déclaré le groupe dans une lettre adressée au président de birmans, Thein Sein.

Projet de Shwe (“or” en birman) comprend l’exploitation de l’un des plus importants gisements de gaz dans le monde au large de la côte birmane, ainsi que la construction d’un pipeline de gaz et d’un pipeline dans la province du Yunnan en Chine du Sud.

Des organisations signataires, y compris EarthRights International (ERI) et la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), ont dénoncé que ce projet a mené à une augmentation de la militarisation et de violations des droits des communautés locales.

Avec la participation d’entreprises de Chine, Inde, Corée et en Birmanie, l’exploration de gaz dans la côte de l’état d’Arakan a commencé en 2003, alors que la construction du pipeline et le pipeline a été lancé en 2011 et devrait terminer en 2013.

Des calculs indiquent que l’exploitation des gaz et le transport du pétrole et du gaz à la Chine peuvent générer des bénéfices de 29 000 millions de dollars au cours des 30 prochaines années.

« Shwe dépôts sont gaz seul, mais les tuyaux de transport de gaz non seulement, mais aussi d’Afrique, Moyen-Orient et Amérique du Sud à l’huile de Chine », a expliqué à l’Efe Shiwei Ye, directeur de la FIDH à l’Asie du sud-est.

« En juin 2008, la China national Petroleum Corporation a signé un accord avec la junte militaire au pouvoir d’achat de gaz et de construire le gazoduc en construction. » « Petro China a droits de distribution de gaz dans le Yunnan, » ajoute.

Le groupe des ONG, a rappelé le président birman que son gouvernement parce qu’elle a suspendu deux projets, un barrage sur le fleuve Irrawaddy et une centrale charbon dans le sud-est du pays, en raison de son impact négatif sur l’environnement et le milieu social.

Parmi les signataires de la lettre sont les nombreuses organisations de minorités ethniques birmans comme le karen, karenni et kachin, kaya shan. EFE