Berlin, 14 mars (EFE).-une équipe internationale d’astronomes a découvert pendant son adolescence, les galaxies changé leurs « habitudes » et sont devenus cannibales, l’Observatoire européen austral (ESO) dit de son siège social dans la ville de Garching, Allemagne du Sud.
Plus de cent heures d’observations avec le télescope de longue portée (VLT, par son acronyme en anglais) ce qui, sur le Cerro Paranal, au Chili, ont été les clés de la compréhension de la croissance des galaxies dans son adolescence, c’est-à-dire entre trois mille et cinq mille millions d’années après le Big Bang.
Donc au début de cette phase, l’apéritif préféré des galaxies étaient flux gaz ténu, mais plus tard sa croissance était attribuable au cannibalisme, qui nourrissent des autres galaxies plus petites.
« Voir comment faire face à deux types de galaxies dans la croissance : avec des événements violents de fusion dans laquelle plus grandes galaxies dévorent les plus petits, d’autres se nourrissent sur un flux de gaz continue mou qui tombe sur eux », a expliqué l’astronome et le chef de l’équipe, Thierry Contini.
Selon le scientifique de l’Institut de recherche en astrophysique et Sciences planétaires de Toulouse, « les deux situations peuvent mener à la création de nombreuses nouvelles étoiles ».
« Pour comprendre comment ils ont augmenté et ont évolué les galaxies il fallait regarder aussi exactement que possible », a déclaré Contini, qui a ajouté qu’un spectrographe intégral de champ a été utilisé pour les observations dans l’infrarouge proche, qui « joue le même rôle que le microscope pour un biologiste ».
Avec l’aide de cet outil puissant, l’équipe a ramassé le plus grand nombre d’observations détaillées jamais obtenu de galaxies lointaines et gaz riche à ce stade de son développement.
« Pour moi, la plus grosse surprise fut la découverte de nombreuses galaxies dont gaz n’était pas en rotation ». Ce type de galaxies ne sont pas considérées dans l’univers proche. « Aucun de la théorie actuelle prédit ces objets, » a déclaré Benoît Epinat, astrophysique de laboratoire Marseille.
Contini, pour sa part, a souligné que l’équipe attendait pas « qu’il y autant des jeunes galaxies dans le sondage qui avait concentrés dans ses parties extérieures des éléments lourds », qui est « exactement le contraire de ce qui est observé dans les galaxies actuelles ». EFE