Madrid, 13 feb ( EFE).-une équipe de chercheurs, avec la participation du espagnol, a conclu que les écosystèmes forestiers subissent les conséquences de la rupture, tels que l’ abattage des arbres, des décennies, voire des siècles, et que les courants effets du changement climatique se chevauchaient dans les suites dernières.

Voici quelques-unes des conclusions d’une étude que publie le magazine « PNAS », qui confirme également la difficulté à discerner, dans les systèmes qui ont été soumis à des chocs pour une longue période entre les effets du climat actuel et ceux des actions humaines passées.

Susana Bernal, un des auteurs de ce document, a expliqué à l’Efe que la chose intéressante à propos de l’étude est qu’il est un « effet clair » du changement climatique sur les écosystèmes forestiers, mais « pas assez » pour expliquer les changements observés.

C’est, selon Bernal, parce que les écosystèmes ont une « inertie » et réagissent lentement aux perturbations qui ont déjà souffert dans le passé et l’abattage des arbres dans le début du XXe siècle.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont analysé les données du passé inventaires forestiers des bassins expérimentaux de Hubbard Brook, dans le nord-est des États-Unis pendant deux ans et 50 ans – climat, dépôts atmosphériques et exportation des éléments nutritifs-.

Une des variables analysées est la variation de l’efficacité de l’azote inorganique, rétention particulier nitrate.

Selon Bernal, l’azote est un élément nutritif essentiel pour tous les êtres vivants dans un système de.

En plus de la croissance des forêts, qui influent sur la capacité d’absorption de carbone dans les écosystèmes.

« La capacité des écosystèmes forestiers de conserver plus de carbone dans l’atmosphère est limitée par la disponibilité d’autres éléments essentiels, tels que l’azote ou le phosphore », dit le chercheur, qui a entrepris ce travail avec une bourse d’études à l’Université de Princeton.

Bassins américains mentionné, « peut-être le plus étudié dans le monde et qu’il existe plus d’informations », ont connu une baisse drastique de l’exportation de l’azote dans les dernières décennies (environ 90 pour cent), selon Bernal.

Scientifiques ont estimé que comme beaucoup le changement climatique pourrait expliquer un 40 pour cent de la diminution de l’exportation de l’azote, qui habituellement se produit dans l’eau des rivières, et qui contraste au moins 60 % pourrait être le résultat des effets à long terme de l’exploitation forestière.

Comprendre la complexité des interactions entre ces troubles et le passé est aujourd’hui l’un des plus difficiles défis scientifiques, dit Bernal.

L’étude a également participé Cary Institute of ecosystem studies (USA). EFE